Depuis la nuit des temps, l'Homme se pose une même question : sommes nous vraiment seul ?
Que ce soit sur terre ou bien ailleurs, dans l'au-delà, l'être humain à souvent chercher des réponses sans jamais en trouver. En quête d'une chose qui serait son égal, un être qui lui serait supérieur, un modèle, peut être, ou encore un ennemis, ses recherches, hélas, ont toujours étaient vaines.
Années après années, siècles après siècles, de nouvelles questions étaient soulevées, mais toutes restaient sans aucune réponses et ce malgré les incessantes recherches, les gigantesques et terribles inquisitions et les nombreuses battus. L'ignorance reignait.
Lire la suite.



Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €

Partagez
Oh I could throw you in the lake. Or feed you poisoned birthday cake. {PV : Guillou d'amour
Harry Stuart
Harry Stuart
Really Curious
Oh I could throw you in the lake. Or feed you poisoned birthday cake. {PV : Guillou d'amour 758484bloggif56c463aa06bac
▌Espèce : Scientifique fou, humain.
▌Messages : 118
▌Age : 37
▌Localisation : Au pays de la fondue, des vaches et du chocolat.
▌Double(s) Compte(s) : Pepper A. Hawthorn.

Oh I could throw you in the lake. Or feed you poisoned birthday cake. {PV : Guillou d'amour Empty
MessageSujet: Oh I could throw you in the lake. Or feed you poisoned birthday cake. {PV : Guillou d'amour   Oh I could throw you in the lake. Or feed you poisoned birthday cake. {PV : Guillou d'amour EmptySam 7 Nov - 13:36

Guillermo & Harry
x

Oh I could bury you alive but you might crawl out with a knife and kill me when I'm sleeping, that's why !


Mission accomplie. Il avait réussi, sans même avoir à bouger le petit doigt. Le téléphone de cette pourriture était entre ses mains. Après des semaines passées à chercher en vain des informations qui n'existaient pas, Harry avait eu une idée. Si Guillermo Villa avait un compte instagram si actif, cela voulait dire qu'il se servait beaucoup de son appareil photo, et par conséquent de son smartphone. L'appareil devait donc être rempli de renseignements qui lui permettraient de coincer Villa et d'enfin mettre le doigt sur ce qu'il était réellement. Car il ne pouvait pas croire que c'était un simple humain inoffensif, pas lui. Il y avait ce quelque chose qui lui hurlait le contraire, et jamais ses intuitions ne s'étaient trompées (ou du moins, c'est ce qu'il pensait).

Alors il avait engagé quelqu'un, sortant une grosse somme d'argent de son porte-feuille. Parce que tout s'achetait, et surtout les autres personnes. « Ramène-moi le portable de ce type-là, et je te paierai le triple ! » Et le jeune homme était parti, presque en courant, comme un pirate à qui on avait promis un trésor. C'était presque trop simple.

A peine deux heures plus tard, le précieux appareil était entre ses mains. Triomphe, victoire écrasante de sa part. Jamais Harry ne s'était senti aussi euphorique. Après avoir payé bien grassement le gamin à la peau ridiculement parsemée de grains de beauté, il s'était rendu dans son laboratoire. Première chose à faire : une copie de toutes les données. Photos, messages, capture d'écran du menu d'accueil (oh mon dieu, il jouait vraiment au sudoku ?), répertoire, tout y était passé.

Les données placées bien précautionneusement dans son ordinateur et copiées sur deux autres disques durs (car on n'est jamais trop prudents), il avait pris le téléphone entre ses mains. A le voir à cet instant, on avait l'impression de voir Gollum en possession de son anneau. Il avait réussi. Il avait non seulement dérobé un bien inestimable à son nouvel ennemi, mais en plus, ça avait été un jeu d'enfant d'hacker son mot de passe.

Première chose à espionner ? Les messages. Oh, comme ils étaient croustillants ! Des sextos par milliers, envoyés à des centaines de numéros différents. Étaient-ce d'autres monstres, avec qui il communiquait par messages codés ? Il y avait forcément quelque chose, une énigme à résoudre ! Alors, il avait imprimé une petite trentaine de messages qu'il avait épluchés. Peut-être qu'en lisant en diagonale, ou en lisant le premier mot de chaque ligne une ligne sur deux, ou qu'en inversant les lettres de certains mots comme un anagramme, il découvrirait quelque chose. Ainsi, son bureau était rempli de feuilles volantes contenant les messages louches, et toutes étaient surlignées de plusieurs couleurs, des parties entourées en rouge et des suppositions étaient écrites au crayon à papier dans la marge.

Mais la tâche s'avérait bien plus ardue qu'il ne l'aurait crû. C'est donc après avoir passé une nuit blanche à essayer de décrypter l'impossible (ha, si seulement il avait pu remonter le temps pour en discuter avec Alan Turing !) qu'il décida de mettre son travail de côté pour aller espionner les images et vidéos du mannequin. Bon, rien de très surprenant. Des photos de lui, de sa vie, de ses voyages. C'était si banal et ennuyeux qu'il en bailla à s'en décrocher la mâchoire.

Et puis, il trouva ce petit dossier protégé par un mot de passe. Bingo ! C'est après avoir utilisé un logiciel spécial (et s'être creusé la tête pendant des heures) qu'il finit par décrypter le code. A ce moment-là, Harry était aux anges. Enfin, il allait pouvoir mettre le doigt sur ce qui lui échappait. Quelque chose lui disait que sa vie ne serait plus jamais la même à partir de ce moment-là, que sa carrière connaîtrait un tournant sans précédent. Ses mains en tremblaient même d'excitation, à moins que ce soit dû à la surdose de cocaïne qu'il s'était enfilée pour rester éveillé durant la nuit.

Aussi, quelle ne fut pas sa surprise en découvrant le pot aux roses. Sérieusement ? Non. Il n'en croyait pas ses yeux, ni ses oreilles. Eh non, Guillermo ne cachait pas des informations top-secrètes sur sa vraie nature de monstre. C'était pire que ça. Ce classeur contenait en réalité une multitude de photos du mannequin déguisé en PLOMBIER et même une vidéo. Au début, Harry n'avait pas pu retenir un rire nerveux en voyant sa moustache spécialement taillée pour l'occasion. Et puis, il avait cliqué sur la vidéo, curieux de voir son ennemi se ridiculiser. Mais ce n'était pas une vidéo conventionnelle, oh que non ! Car l'uniforme de plombier que portait Villa tomba bien vite sur le sol... pour laisser une vue impressionnante sur son torse nu et parfaitement musclé. Durant une seconde, le scientifique en oublia presque de respirer. Oh mince, est-ce que c'était une vidéo pornographique ? Ou bien seulement une vidéo professionnelle un peu osée et dénudée ? En réalisant à quel point il était... tendu, il décida qu'il était plus sage de stopper ici la vidéo et de ne pas découvrir la réponse. Il y a des choses qui doivent demeurer secrètes, et ça en faisait définitivement partie.

« Je crois que j'en ai eu assez pour aujourd'hui. » annonça t-il d'un ton ferme et déterminé, comme pour se convaincre lui-même de ne pas continuer de regarder la vidéo. C'est à ce moment-là qu'un  téléphone sonna. Comme un adolescent surpris devant un film pornographique, il laissa le mobile de Guillermo glisser de ses mains, avant de réaliser que c'était son propre portable qui venait de vibrer. C'était quoi, ça encore ? Qui osait le déranger dans un moment pareil ?

"Monsieur Stuart.
J'ai entendu parler de vous et de votre travail que j'admire beaucoup. Aussi, je voulais vous donner rendez-vous au restaurant du Cygne doré dans une demi-heure si cela vous convient. J'ai des informations concernant certaines créatures, notamment un certain wendigo que vous traquiez depuis plusieurs semaines.
Bien cordialement,
Un ami qui vous veut du bien."


Sans même prendre le temps de se poser pour réfléchir et anticiper le fait qu'il pourrait s'agir d'un piège, Harry enfila une veste. Un admirateur secret qui avait des informations pour lui ? C'était trop beau pour être vrai. Et quand bien même il s'agissait d'un monstre cherchant à le berner, il avait des protections sur lui, qu'il pourrait utiliser en dernier recours. De toute façon, il étouffait entre ces quatre murs, et c'était l'occasion rêvée de savourer sa victoire en bonne et due forme, autour d'un dîner luxueux.

C'est donc tout naturellement qu'il se retrouva assis à la table de ce restaurant étoilé, un bon vin français dans son verre et un petit sourire satisfait sur le visage. A présent, il pouvait se reposer sur ses lauriers. Stuart avait vu tout ce qu'il voulait voir, bien qu'il lui reste encore à décortiquer les informations. Il pouvait donc se concentrer à des tâches plus... simples comme ce message mystérieux lui promettant monts et merveilles.

(made by voodoo doll)
Revenir en haut Aller en bas
 
Oh I could throw you in the lake. Or feed you poisoned birthday cake. {PV : Guillou d'amour
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» THE CAKE IS A LIE !
» Tea time & little cake - ft Nikita.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Détroit Monsters :: LA VILLE :: Centre-ville :: Restaurants & Fast Food-

Nos partenaires
Logo 88*31Logo 88*31468,60.pngsgOh I could throw you in the lake. Or feed you poisoned birthday cake. {PV : Guillou d'amour 1453056025-88-31