Depuis la nuit des temps, l'Homme se pose une même question : sommes nous vraiment seul ?
Que ce soit sur terre ou bien ailleurs, dans l'au-delà, l'être humain à souvent chercher des réponses sans jamais en trouver. En quête d'une chose qui serait son égal, un être qui lui serait supérieur, un modèle, peut être, ou encore un ennemis, ses recherches, hélas, ont toujours étaient vaines.
Années après années, siècles après siècles, de nouvelles questions étaient soulevées, mais toutes restaient sans aucune réponses et ce malgré les incessantes recherches, les gigantesques et terribles inquisitions et les nombreuses battus. L'ignorance reignait.
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bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end
Villin J. Gravel
Villin J. Gravel
Chillin
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MessageSujet: bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end   bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end EmptyDim 17 Avr - 19:25


villin, joachim ;
20 ans, 17 juillet ;
étudiant en sciences physiques option astronomie ;
autrichien ;
dopplegänger, chillin' ;

+ lien mental ignifuge et naturel ;
communication par la pensée ;
perception intuitive par les ressentis ;

+ limité aux intuitions et sensations
émotionnelles ;
rêves influencés, surtout les cauchemars ;
moins sensible à la connexion pendant la phase de sommeil ;
partage les traumatismes et chocs psychologiques violents, les
éprouve avec beaucoup d'intensité ;

— villin
(hibari kyōya — khr)

cheveux noirs et épais • yeux bruns • 1m76 • carrure fine et peu athlétique • peau blanche qui crame au soleil • grains de beauté sur le dos • porte de grosses lunettes pour lire et travailler • voix traînante, un peu froide et tranquille • a toujours un petit accent allemand • s'habille simplement • mains toutes pleines de cicatrices • fait la tête même en dormant.
Villin ne s'est jamais borné à être exemplaire, et ne cherche à se faire acclamer par aucune grande clarté ; il y a à l'ombre de ses cils huilés une réalité qui s'enroule, dans sa nomenclature la plus vaste.
Cette réalité est un inébranlable équilibre qui lui tiraille les muscles d'ébène et dans lequel il ne sera jamais ni vertueux ni malfaiteur.

Villin est fait d'étendues tapissées de ses songes, là où il n'y a pas la place d'y empiler la fureur : elle décante sous la peau, loin du lit de ses veines, et au fond de ses iris jusque dans ses souffles les plus longs la langueur romantique ne s'étiole jamais. Il y a aux confins de ses lèvres païennes quelque chose de fatalement impassible et de profondément inconfortable : il est le calme permanent avant une tempête qui toujours se dérobe à elle-même, et même si un jour elle se dégoupillerait sur sa langue, Villin saura l'avaler et la broyer dans ses entrailles.

Les cris de Villin ne résonnent pas, sa voix est égale et la grâce malhabile de ses gestes amples gratte tout autour de ses mains blanchies de cicatrices, là où la mesure de tous ses actes est la plus aiguë qui soit. Villin a la pensée comme un couperet car il a apprit à tout considérer de son œil spartiate. Il a le dire soupesé, il n'y revient pas car Villin n'a qu'une parole et c'est là sa force vive ; cette parole n'épargne jamais. Et quand bien même on ne devine pas directement les rouages bien graissés du fond de sa cervelle, l'éclat de sa prunelle qui descend dans votre dos lamine l'épiderme jusqu'aux nerfs car il est plus aiguisé que le fil d'un coupe-gorge. Il sait quand vous êtes irrécupérable ; dès qu'il sentira votre venin près de lui il vous carbonisera par le ventre et vous réduira en bouillie.

Villin n'avait pourtant pas toujours été calculateur, mais il y a désormais sous ses talons de verre un substratum de méfiance sur lequel il a brisé toutes ses dents ; et les poussières de leur émail sont des éclats de doute qui amassent la prudence dans le gosier et font gonfler son myocarde d'inavouables besoins : de sécurité, de choses qu'il connaît.

Villin n'a pas la pitié dans son œil mais moins encore de malveillance, et lorsqu'il vous serre contre lui ce n'est pas pour vous briser. Ses baisers vous écrasent les poumons de leur chaleur paresseuse et intime mais on sent leur valeur sûre et vous savez qu'ils ne vous mentent pas.

On ne dévore pas l'étreinte de Villin, on la vaut et pour cela il faut être fait comme lui, d'eurythmie, de sensibilité à sa douceur froide et étrange — Villin est loin d'avoir la confiance facile. Et si son sourire est tendre, sa voix calme et mesurée, ce n'est pas comme les autres, ça ne le sera jamais : vous ne pourrez saisir son amour et vous en parfumer jusqu'à gonfler la gorge d'une ivresse fastueuse car c'est lui d'abord qui vous frôle puis vous agrippe tout entier.

Dans son port de nuque altier et ses mouvements précautionneux subsiste encore une furtivité aristocrate et surannée, une richesse obscène qui le révulse : aujourd'hui Villin a dépecé ses chemises hors de prix et entaché tout son corps de sueur pour que jamais plus sa peau ne soit si douce et si précieuse. Villin désormais le comprend de manière presque viscérale, le luxe est une souffrance évertuée à s'oublier.

Villin ne s'est jamais voulu souverain mais il demeure être de fierté ; il n'a jamais su admettre les erreurs et toujours les nier ardemment. Il n'admire ni ne poursuit rien : pour se suffire à lui-même Villin a ferré tous ses songes afin d'en faire sa puissance, et a apprit à se rire de l'ombre qui ne cesse pas de l'effleurer.

Pourtant Villin sait que persiste un incurable dans les renfoncements de sa chair — il a un essaim de souvenirs vivaces tout au fond du crâne, des murènes plein la lymphe et un pôle boréal dans la cage thoracique. Villin rompu à la tâche de se noyer par ses propres artères sent les caillots de ses larmes bondir encore dans son ventricule et prie pour que Finn ne s'y étouffe jamais.

Cela s'appelle la peur et Villin aujourd'hui n'a jamais tant aimé le toucher de l'air sur sa taille fringante et libre.


► AIMEZ VOUS VÔTRE CONDITION DE MONSTRE ?

Villin ne se définit pas tout-à-fait comme tel, il n'a même pas de pouvoir à proprement parler, juste un être avec qui sa vie s'assemble.
Il ne divise pas son état de dopplegänger en avantages et inconvénients, seul l'amour qu'il porte à son double lui parle et cela lui suffit. En un sens il n'est pour lui plus question d'apprécier ou pas ce statut de monstre, sa nature est pour lui l'évidence-même, il ne pourrait simplement pas subsister sans.

► QUE PENSEZ-VOUS DES HUMAINS ?

Villin est longtemps resté influencé par la conception du genre humain qu'il s'était fait adolescent, lors de son internement puis encore après. À cet instant Villin avait profondément haït l'Homme, exécré de tout son cœur sa malveillance et sa pensée.
Après avoir grandi, il les considère sensiblement de la même façon que les monstres et a perdu l'habitude de les différencier l'un de l'autre.

► ÊTES-VOUS BIEN INTÉGRÉ À LA SOCIÉTÉ ? SI OUI, AVEZ-VOUS UN MÉTIER ? ET SI VOUS ÊTES ÉTUDIANT, QU'ÉTUDIEZ-VOUS ? SI VOUS NE FAITES RIEN DE CELA, QUE FAITES-VOUS ?

Il se considère socialement comme bien intégré, son train de vie est le même que tout le monde, son état de monstre est loin d'être flagrant. Villin a des amis, des études qu'il aime, un appartement pas trop loin de l'université, le stock coca pour rester éveillé le soir, une interminable liste de mangas à lire et une voix du matin qui persiste jusqu'à neuf heures. En somme rien de remarquable.

► SOUHAITEZ-VOUS DÉVOILER VOTRE VÉRITABLE NATURE AU RESTE DU MONDE ?

Face aux siens Villin n'aurait pas de gêne à découvrir sa nature réelle mais s'attache cependant à rester discret, n'appréciant rien tant que son habituelle tranquillité — il n'est de toute manière pas persuadé que son statut de dopplegänger fasse grand cas au sein d'une communauté de monstres.
Avec les humains par opposition, au vu de la façon dont les choses ont tourné la dernière fois qu'il a évoqué son lien avec Finn, attendez-vous à ce qu'il passe son tour.

► QUELLES SONT VOS ACTIVITÉS FAVORITES ? AVEZ VOUS UNE PASSION ?

Villin est avant tout passionné par ses études ; il y a depuis toujours au fond de son crâne des désirs inassouvis de firmaments ou d'immenses galaxies qui éparsent l'étoile, et parfois Villin ne sait exister que par cette passion car elle est la seule dans laquelle il aurait voulu s'éteindre. Toute la nuit il se complaît à observer les dimensions célestes jusqu'à avaler leur lueur entre ses lèvres.
En outre il est amoureux de la littérature française et profondément sensible à la poésie ; il en transporte des recueils partout et ne se lasserait pas d'incessamment en relire.

► DÉCRIVEZ L'ENDROIT OÙ VOUS PASSEZ LE PLUS DE TEMPS (UNE PIÈCE CHEZ VOUS, AU TRAVAIL, UN ENDROIT À L'EXTÉRIEUR, ETC).

On le trouve généralement à faire ses devoirs à la bibliothèque de l'unif car Villin apprécie son calme feutré. Il se sent aussi bien chez lui, ça sent la cannelle et le café au lait, il s'y sent à l'aise au milieu des cochonneries de partout et aime y reconnaître tous les recoins.

► QUEL EST LE BIEN AUQUEL VOUS TENEZ LE PLUS ? POURQUOI LUI ACCORDEZ VOUS TANT DE VALEUR ?

Peu matérialiste, il ne s'attache ni n'attribue de valeur sentimentale à beaucoup de choses ; néanmoins il prend particulièrement soin d'objets tels que son télescope, son globe lunaire et toute une collection d'anthologies de poésies dans un état déplorable et qu'il connaît à peu près sur le bout des doigts.

► QU'EST-CE QUI VOUS MET LE PLUS EN COLÈRE ?

Si comme tout bon vivant de la société Villin possède toute une panoplie de petits détails qui l'exaspèrent (les mouchoirs en papier dans la machine à laver ou la fourchette qui tombe dans la sauce par exemple), il existe peu de choses qui mettent Villin en colère. Ceux qui le connaissent un minimum évitent généralement de lui parler de sa famille ou de lui poser des questions sur son enfance et son adolescence car il n'y réagit pas toujours très bien.

► QUELLE EST VOTRE PLUS GRANDE PEUR ?

Être enfermé. L'idée le pétrifie, mais aujourd'hui Villin ne vit plus avec cette crainte car il a cessé d'y penser.
Il sait que fatalement elle ne partira jamais ; la peur n'est pas de ce qui passe et se délace, puis qu'on oublie comme un visage. La peur a les mains et les lèvres d'une amante.
C'est pour cela qu'il n'y songe plus depuis longtemps.

► QUE FAITES-VOUS POUR PALLIER AU STRESS ?

Il a le toc de se gratter le visage jusqu'au sang lorsqu'il est stressé. Sinon il enchaîne café sur café et fait des pyramides avec ses gommes ; ça le détend.

► QUELLE EST LA ROUTINE D'UN JOUR NORMAL POUR VOUS ? COMMENT VOUS SENTEZ-VOUS SI CETTE ROUTINE EST ROMPUE ?

Il a un quotidien tout-à-fait ordinaire et comme beaucoup de gens, il entretient surtout des petites habitudes tous les jours :
• Villin met toujours son réveil plus tôt qu'il ne devrait car il est ridiculement lent le matin, et très fort, sans quoi il ne se réveille pas (il offre généralement des tournées de chocolats chauds pour se faire pardonner auprès des voisins).
• il ne mange jamais salé en début de journée, ça le met dans une humeur atroce jusqu'au soir. Par ailleurs il préfère globalement les aliments sucrés.
• il est à peu près tout le temps en retard en cours.
• il écoute de la musique en travaillant, ça l'aide à se concentrer.
• il prend ses cours sur ordinateur portable car il est incapable de gérer les papiers.
• il dort sur le ventre même s'il bouge énormément pendant la nuit ce qui fait que dormir avec lui est proprement infernal. Par ailleurs il tombe régulièrement de son lit — évidemment, personne n'est au courant.

► VOUS AIMEZ-VOUS ? (QUESTION D'AMOUR PROPRE)

Sans couver un ego surdimensionné, il s'estime avec peu de réserve ; Villin se traite désormais comme un immense cas d'humanité et s'apprécie assez pour s'auto-suffire. Il n'y a jamais eu personne pour lui apprendre à s'aimer à sa juste valeur, alors Villin a tout fait tout seul bien soigneusement, sans simplicité dans ses propres mesures.

► LISTEZ TROIS CHOSES  DANS LESQUELLES VOUS VOUS CONSIDÉREZ BON, ET TROIS CHOSES DANS LESQUELLES VOUS NE L’ÊTES PAS.

Villin s'estime doué pour :
• danser ; il a prit des cours quand il était petit.
• faire du bon café sans taper au hasard.
• retenir les noms, les citations, les paroles, etc — il a une mémoire auditive (et il connaît le pokérap par cœur).

Mais il est honteux en ce qui concerne :
• le chant. Villin est auditivement un danger public.
• l'organisation. Il ne gère jamais son temps, vit dans un énorme bazar et déteste faire du tri.
• l'efficacité et la réaction, surtout le matin où il est totalement à l'ouest. En outre il n'aime pas faire des efforts ou des choses trop fatigantes.

► QUELQUE CHOSE À RAJOUTER ?

• il a le sommeil extrêmement lourd.
• il n'est jamais réellement tombé amoureux.
• il est horriblement tactile et parle en touchant les gens de partout.
• il fume parfois, touche très peu à la drogue mais c'est déjà arrivé et il ne tient pas du tout l'alcool.
• il a fait du piano lorsqu'il était petit et aimait bien sans être spécialement doué. Il n'a plus jamais retouché à l'instrument depuis ses quinze ans et songe à s'y remettre un peu.
• il aime bien taquiner les gens et a un humour bien à lui (= il est pas drôle).
• il a un gros faible pour les oiseaux et avant, il en avait un petit qu'il avait appelé Prue. Il se doute que ses parents l'ont relâché lorsqu'il a été interné.
DOSSIER MÉDICAL 09/06/2010



PATIENT 267 — VILLIN JOACHIM GRAVEL

(Ci-joint l'acte de naissance du patient.)
14 ans
17 juillet 1996
Sexe masculin

— Pas de séparations familiales
— Parents non alcooliques, toxicomanes ou atteints de troubles mentaux
— Délaissement ou négligence durant l'enfance : à déterminer
— Pas d'abus physiques et sexuels subis durant l'enfance
— Pas d'accident grave, maladie grave, catastrophe naturelle, guerre, attentats et autres expériences vécues comme traumatisantes ou environnement particulièrement dur durant l'enfance

Le patient ne consomme pas de drogues, d'hallucinogènes ni de solvants volatils.


DIAGNOSTIC :
— (DSM-IV-TR) Schizophrénie 295.10 ; type hébéphrénique
comportement + discours prosélyte désorganisés
distorsion de la réalité + illusions
hallucination sonore (2. Entend une ou plusieurs voix)
(DSM-III-R) syndrome dissociatif ; axe clinique syndrome délirant + symptôme idéo-verbal léger par diffluence (sans consonance poétique), et affectif

  — (DSM-IV) Trouble psychotique bref (Bouffée Délirante Aiguë)
présence permanente d'idées délirantes de référence
(DSM-IV-TR ; AXE 2) perceptions hallucinatoires et inhabituelles, notamment illusions corporelles


TRAITEMENT :
Neuroleptiques (piqûres + cachets)
Somnifères + tranquillisants
Sismothérapie



ACTE DE NAISSANCE de GRAVEL Villin Joachim

Le dix-sept juillet mille neuf cent quatre vingt seize, onze heures quarante-et-une minutes au soir est né Allgemeines Krankenhaus 1090 Vienne, VILLIN JOACHIM, du sexe masculin, de Joshua Clyde GRAVEL, profession de Grand Couturier, né à Vienne le quatorze avril mille neuf cent soixante sept et âgé de vingt-neuf ans et de Alexis Cassildey LEINER-GRAVEL, son épouse, sans profession, née à Vienne le trente-et-un octobre mille neuf cent soixante neuf et âgée de vingt-sept ans, domiciliés Drahtfütter Innerstadt 1033 Vienne. Dressé le dix-neuf juillet, quinze heures trente minutes, sur la déclaration de Bellamy SANDERS, âgé de vingt-neuf ans, profession de Styliste, ayant assisté à l'accouchement qui, lecture faite, a signé avec Nous, adjoint du Bourgmestre de Vienne, Officier de l'état civil par délégation.



X X X X X X X X X X X X X X X



29/06/2010
CHUTES


Le souffle crève la paroi fragile de ses poumons, crisse dans la gorge et crache un sifflement qui s'élève un peu pour retomber entre les lèvres. C'est la respiration d'un noyé, ou même encore celle d'une bête ? Il y a une bête dans la chambre d'isolement numéro 171 — Villin aujourd'hui n'est pas un homme ; Villin est hideux.

Dans le ventre de Villin ce n'est plus de la rage qui s'étrangle à hurler. Ce n'est plus cette douleur anarchique qui explose sa trachée et dévoile toute la chair sur les draps blêmes comme une peau de mort, mais un désastre sans alibi, un désastre tragique et inerte alors qu'hier encore des sentiments charognards le mordaient jusqu'au sang et déferlaient loin au bout de ses cils.

Villin avait bercé dans l'abdomen un atroce désespoir qui le faisait s'expliquer, sangloter, gueuler comme un animal jusqu'à le laisser anéanti de fatigue et de peur ; désormais ce désespoir ne lui dira plus rien car il s'est écroulé en le tenant debout. Villin a cessé de parler et laisse les infirmières lui verser la flotte de ses médicaments entre les lèvres, lui toucher son visage décharné de leurs mains toutes douces. Elles puent la javel et le gant de latex, ces mains — ce sont des mains qu'il déteste, il leur cracherait dessus si sa bouche pâteuse saurait en trouver l'impulsion.

Villin ne sent plus l'odeur infecte des draps gavés de sa sueur et traite par le mépris qu'elle mérite la brûlure de ses paumes disséquées ; comme léthargique il ne tressaille même pas lorsque ses yeux mi-clos de poisson mort se posent sur ces femmes devenues infâmes, leur blouses blanches chargées de psychoses, la fenêtre munie de barreaux, ses cuisses amaigries emperlées par l'effort le plus moindre.

Des choses percent et semblent l'effleurer, telles des lèvres dans son cou ou des diapasons de douceur ; ce sont des mots absurdes qui réconfortent et ne parlent pas, chuchotés à son oreille comme des poèmes d'amour. Quelques fils de sourires se mêlent à l'entrelacs de ses veines droguées et éviscèrent un peu plus la brume de ses prunelles. Et, sur ses paupières bleutées, universel, un mot s'effile.

Lien.

ghh... Les sédatifs,

sédatifs sédatifs sédatifs sédatifs sédatifs—
Il doit absolument, absolument...

ça me donne la gerbe, dit-il à peine surpris du croassement pénible qui déborda à ses commissures à la manière de la salive. Il se renverse sur le flanc tout au bord du lit, enfonce les doigts dans sa gorge et vomit toute l'eau matinale parasitée de rispéridone sur le carrelage livide, décanillé par la lumière crue.

Il s'en boufferait les ongles et les phalanges.
Il n'avalera jamais.



X X X X X X X X X X X X X X X



02/11/2010
CRISES


Ses ongles plantés dans la main lui tirent quelques perles de sang éparses sur sa peau hâlée d'un voile d'ombre ; ce sont de petites constellations qui ne brillent que du sel de leur pourpre. Il doit rentrer, sourire, pleurer, pourrir, fuir, faire quelque chose, il va crever, bon sang ! Tendu jusqu'aux grains de ses nerfs, repu de terreur à en exploser le cerveau, il darde dans l'ombre un regard d'animal par ses yeux démesurément grand ouverts, en quête d'oxygène par sa gueule écumante.

Renversé sur le dos à demi hors de lit Villin désespérément tente de repousser les mains qui se posent sur son corps. Elles vont l'étouffer, défoncer son sternum ; il appréhende chaque jour un peu plus leurs mouvements fébriles et amoureux. Ressent avec une intensité agonisante leurs poings écraser sa gorge comme pour en faire sortir tout le sang par la bouche. À deux décharges de l'asphyxie, à un cheveu de cracher ses entrailles — dans le noir Villin ne se retrouve plus.

— Chuut, Villin, tout va bien... là. calme-toi, tout va bien aller maintenant. Ce n'est rien, endors-toi... respire.
Que... que... bredouilla-t-il comme étranglé par des sangles.
— C'était un... mauvais rêve. Tu n'en referas plus des comme ça. C'était juste une fois, et après plus jamais, c'est promis...

Il demeure un instant meurtri, démoli à tel point qu'il se sentait incapable de se mouvoir, compulsant tout le cœur à retrouver son souffle, distillant la peur par l'arc de ses pupilles. Une peur poisseuse et transpirante. Une peur rassasiée, qui telle une agonie ne tolère ni trêve ni sommeil ; pas comme ces fluides troubles que les seringues lui injectent à la saignée de ses coudes et qui le laissent plus amorphe que des drogues. Des larmes effleurèrent ses joues sans bruit car par réflexe les sanglots sont déjà ravalés au fond, bien au fond de l'intestin.

— Voilà. On est bien comme ça, pas vrai ?

Oui. On est... bien.

La nuit broie ses dernières ombres. Il reste étendu sur le dos les mains jointes dans ces gestes pour prier, et sous les paupières closes ses yeux s'étaient révulsés dans l'orbite comme s'ils voulaient voir le ciel.



X X X X X X X X X X X X X X X



12/03/2012
SILENCES


Le temps semblait ne posséder aucun ascendant sur le visage de Joshua. Il s'effeuillait contre sa peau sans jamais brusquer ses pores et ce qui en reste sont des axiomes de froideur soufflés par son regard d'acier.

Villin n'esquisse aucun geste, son cœur seul résonne encore au rythme funèbre du ballet de ses sangs. Quelque chose comme un silence, lourd telle une pierre au froid de décembre, constelle ses lèvres et les embrasse.

— Je suis ravi de voir que tu vas mieux.

Par instinct Villin se tend, incapable de maîtriser le tressaillement de ses mains. Il ment, il le devine sans même en croiser les yeux. Son père a un voix de meurtrier, brûlante comme une plaie qui s'ouvre, piquante comme la suture sans alcool. Pas une seule fois dans sa vie Joshua ne l'avait regardé en face, cependant depuis son retour de l'hôpital il y a presque deux mois, il avait envers lui des attitudes pesantes comme si son plus cher désir était de l'écraser à la manière d'un cancrelat. Villin estimait que désormais il n'avait plus à s'inquiéter de trouver au fond de ses yeux les ocelles de la psychose, de voir suinter sa folie au coin de ses lèvres de dégénéré.

— Ta mère et moi sommes d'accord. Il est désormais hors de question que tu quittes cette maison au moins jusqu'à tes dix-huit ans. Tu auras d'abord des cours dispensés ici puis tu iras au lycée comme tout le monde.
Ah, voilà qui m'étonne. La période pendant laquelle j'étais à l'hôpital devait pourtant vous être si profitable, à toi, maman et September.
— Ça suffit.

Le lycée... Quelle drôle de chose. Sur le dossier médical de Villin il est noté que Villin Joachim Gravel, né le 17 juillet 1996 et atteint de troubles mentaux sévères admis sous examen, a été scolarisé normalement jusqu'à son internement. Villin s'en rappelle à peine — tout remonte à si loin.
Villin a seize ans et demi et il est une tragédie car il a répandu tant de souvenirs qu'il s'est chassé de sa propre mémoire.

— Pour être honnête, sache que je t'aurais laissé partir si tu n'avais pas été mon fils, et qu'aussi longtemps que tu conserveras cette impertinence futile, je ne pourrai en aucune façon me réjouir de ton retour. Il est plus que temps que tu grandisses, Villin.

Son regard brun se fige et une boule de mots muets chavire au fond de sa gorge. Il était inutile de le lui dire car Villin le savait depuis longtemps, pourtant il sent des alluvions de douleur emplir son poumon jusqu'à crachoter sur ses muqueuses. Asséché comme une bouche, Villin tente de parler mais se ravise car des choses atroces gravissent son cou et transmuent sa voix en râle.

— Et d'un angle juridique, il est impossible de te laisser partir seul avant ta majorité.
Je m'en fous de l'angle juridique.

C'était faux bien sûr, mais il lui semblait que demeurer ainsi à écouter le ton infect et dégoulinant de Joshua constituait en une insurmontable torture. Villin se sent à bout de souffle. Ces derniers temps il se savait sans cesse les nerfs à vif et la larme facile — Finn affirmait que c'était son organisme qui réagissait et s'habituait à l'arrêt des neuroleptiques. Tout de même il s'en veut pour cette colère rouge qui devant cet homme bondit haut dans le cœur ; à présent même ne l'avait-il pas suffisamment appréhendé pour que son ventre ne se torde pas sous les spores tueurs de sa voix ?

— Que ça te plaise ou non, c'est ainsi que ça se passera parce que tout est déjà réglé. À la fin de ta scolarité, tu pourras faire tes études comme quelqu'un de normal. Maintenant ça ne devrait pas être comme à l'époque, tout du moins je me risque à l'espérer.

Villin le fixe dans les yeux, ses pupilles se dilatent lentement et la force tellurienne qui grogne dans la moiteur membraneuse de sa trachée a ce goût de sel et de violence à tout rompre. C'était Finn et pas la force des choses qui l'avait sorti de l'hôpital en lui proposant de mentir sur l'état de sa santé mentale car Finn se rend toujours compte quand Villin est en danger. La force des choses ne comprend pas cela — après tout la force des choses gravite autour du monde et n'a pas d'intelligence.

— Nous ne reviendrons pas là-dessus, Villin. J'ose supposer que tu as honte de tes caprices d'enfant et que dorénavant tu les garderas pour toi.

Villin sent dans l'abdomen des organes étrangers pulser plus fort que le myocarde et se leva soudainement — la chaise se renversa et il tourna les talons. Il ne voulait pas que son père voit ses yeux. Il avait rarement été aussi heureux, il s'était rarement senti aussi vivant.

Les détester n'était pas si difficile en fait. Villin sur l'instant comprenait mieux comment eux avaient si brillamment réussi, et en même temps il comprenait à quel point il pouvait être inhumain d'être un homme.



X X X X X X X X X X X X X X X



01/08/2013
SOUPIRS


Le sourire lui seyait étrangement, cette boucle de chair graissée à la salive ; il lui enfle la bouche à la levure et au caramel ; il est un vin de cerise. Tout autour sur son lit papillonnent l'ombre et la lumière et celle sur son ventre changeait de forme à chaque traînement de respiration affluant dans le poumon. Villin respire vite aujourd'hui.

Il referme ses poings sur les draps sans cesser de fixer le ciel drapé par l'été du jour et la nacre pâle sous les petits nuages qui écument. Demain matin Villin n'existera plus sinon aux attraits de sa nouvelle ville, et sous les consonnes de son nom sommeillent des possibilités aussi vastes qu'une tessiture d'infini. Cette ville s’appelait Detroit.

Villin respire vite aujourd'hui — peut-être est-ce son cœur léger comme une bouffée de rêve et qui au moindre battement fait chavirer le ventricule. C'est de cette drôle de sensation ; cette sérénité bienheureuse et confite au miel de ses lèvres, salée à la langueur de son souffle. Demain matin Villin n'existera plus. Cette nuit est la dernière dans cette chambre qui pue la fièvre et la fortune car il ne revient pas, ne revient plus ; ici on ne guettera pas son retour. Il en souriait. Il ne s'évertuera pas à être un monstre et moins encore à être humain.

Demain matin, chuchote le monde.

Villin renverse la tête en arrière et ferme les yeux.

Tu prends ma main ? Il expire les mots dans le silence somnolent ; Finn devait en avoir senti le soupir.





REBONDS


► COMMENT VOUS ENTEND(I)EZ-VOUS AVEZ VOS PARENTS ? AVEZ-VOUS DES FRÈRES ET SŒURS ?

Sans cesse tenu éloigné de ses parents, il demeura plus avec les femmes qui s'occupaient de lui qu'avec eux si bien qu'il ne peut plus se remémorer les jours où sa maman le prenait dans ses bras, où il grimpait encore sur ses cuisses et déposait ses petites joues dans son cou.
Villin avait toujours été un enfant très calme. Villin avait aussi toujours été un enfant chez qui quelque chose n'allait pas et le seul attrait du réel a fait de lui son gibier. Il grandissait plus vite encore que les fleurs sans jamais se faire comprendre, jusqu'à ce que ses parents le pensent malade. Villin peu à peu ne se força plus à aimer car c'est la chose la plus fatigante qui puisse être et Villin ne se fatigue pas à ce genre de choses.
Jusqu'à son internement il fut enfant unique ; Alexis donna naissance à une petite fille vers ses quinze ans. Il eut seize ans et demi lorsqu'il sortit et ce fut seulement là qu'il la vit. Villin ne connait que son nom — September —, le brun diamanté de ses yeux et l'ébène ensoleillé que ses mèches folles éparpillent jusqu'aux nuages. Rien de ses petites mains dans les siennes où de ses lèvres qui formeraient son prénom ; le regard scandalisé de ses parents lorsqu'il s'approchait d'elle, comme si ses gestes furent obscènes, le dissuada finalement de vouloir la voir jusqu'à ce qu'il s'y désintéresse. Après tout elle avait probablement été éduquée au dégoût de sa personne, rompue à l'aversion comme s'il avait été un insecte.
Villin ne vous dira jamais qu'il n'a pas de famille et ce n'est plus comme avant, ce n'est plus cette rage insoluble ou cette peine criante qui lui palpite sous la peau. Il les a simplement oubliés.


► OÙ LOGEZ/VIVEZ-VOUS EN CE MOMENT ? POURQUOI AVOIR CHOISI CET ENDROIT ?

Villin a choisit un appartement au fin fond des bas quartiers de Détroit. Quand bien même il aurait eu moyen de se payer infiniment mieux, Villin ne mettra plus jamais les pieds dans une de ces hideuses baraques abjectement fortunées. Il n'existe rien de plus écœurant que ce genre d'opulence scabreuse.


► ÊTES VOUS NÉ MONSTRE ? SI OUI, COMMENT CELA SE PASSAIT-IL CHEZ VOUS ? ET EN COMPAGNIE DES HUMAINS ? SI NON, QU’EST-IL ARRIVÉ ?

En plus d'être né monstre Villin est né erreur ; ébauché dans le bouquet de chairs de sa mère il fut ce brouillon défaillant du chef d'œuvre de toute sa vie. Ce chef d'œuvre est une femme et elle fut nommée September.
Cela, Villin a fait plus que le deviner car il a grandi avec cet état des choses. Joshua et Alexis n'avaient jamais couvé des dispositions très favorables à l'égard de cette connexion mentale ; ils n'avaient jamais désiré un enfant anormal, ce garçon anémié à l'esprit qui gangrène.
Villin essuya surtout des réprimandes car il tentait souvent de s'expliquer, peu à peu des regards effarés, puis il y eut une conjecture à la force de loi qui édictait Villin est malsain, Villin est fou ; ne touchez pas Villin car il sera ce toxique baignant dans vos rivières, cette maladie vénérienne qui fera de vous aussi un malade psychosé, comme lui, exactement comme lui.
Voilà longtemps que Villin ne cherche plus ses mots ; Villin fut prisonnier de guerre, opposant politique à leur logique boueuse, et il vous dira sans tressaillir que s'il fut abattu comme un porc à quatorze ans et demi, on ne vous fera, à vous non plus, pas l'honneur d'un échafaud.
bonjour moi c'est hol murc mais sunshine ça fait le boulot aussi, j'vous ai trouvé dans un paquet de céréales. je tiens à marteler le fait qu'à partir de l'instant où j'ai vu ce prédef j'ai vécu dans la peur qu'il se fasse dérober sous mon nez ; j'espère que lui et moi ensemble ça fera pas trop de freestyle. par ailleurs j'ai une compréhension des choses exceptionnellement restreinte du coup les admins des forums finissent toujours par me détester parce que je pose pleins de questions. voilà, je suis pas spécialement intéressant et je vais pas parler pour rien dire : comme on dit dans le français véritable, c'est pas trop trop mon délire #sedonnerungenrehourra
sunshine !
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Miremél
Miremél
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MessageSujet: Re: bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end   bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end EmptyMar 19 Avr - 12:02
OMG le design de ta fiche cey trop beau. Et puis ce choix de prédéf j'aime. Puis cette présentation quoi.

Welcome ♥
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Elio Malverti
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MessageSujet: Re: bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end   bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end EmptyMar 19 Avr - 17:51
aye mais ta fiche déchire je crois que je suis amoureux mon kokoro fait doki doki tu as beaucoup trop de classe et effectivement ton code est super cool ♥ y'a rien de plus plaisant que des gens tiptop qui prennent des prédéfinis sweg ♥ bienvenue du coup huehue!
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Villin J. Gravel
Villin J. Gravel
Chillin
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MessageSujet: Re: bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end   bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end EmptyMar 26 Avr - 12:02
Merci mon dieu je feels vous êtes des anges à la crème fraîche ;;;;; ♥
l'histoire est terminée, la partie à l'hôpital est plus hard que ce que je pensais (pardon), enfin voilà. Des bisous et du fluff
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Dastan Khorshed
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▌Espèce : • Simurgh. ► Griffon millénaire aux plumes en or.
▌Messages : 30
▌Localisation : Perché sur une branche.
▌Double(s) Compte(s) : R.A.S

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MessageSujet: Re: bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end   bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end EmptyDim 1 Mai - 20:19
Oh god.
Ce codage.
Il est JUSTE PARFAIT !!
Mon dieu que je suis in love sérieusement.
Magnifique.
Et puis ton avatar également omg.
Bref bienvenue !!
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Charlie MacKintosh
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MessageSujet: Re: bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end   bouffée délirante aiguë____ GRAVEL ,, end EmptyMar 3 Mai - 14:19
Tout d'abord bienvenue Villin : D

Je vais me rallier à tout le monde pour te dire à quel point ton interprétation du personne est merveilleuse et quelle point tu écris bien et que ta fiche est extrêmement bien documentée (le DSM-IV stp) et et et ...

Et que je n'ai absolument rien à te dire. C'est PAR-FAIT. ♥
(Dylan O'Brien est parfait aussi, cela va de soi)

Je te souhaite de t'amuser ici ! En tout cas, ça a été un réel plaisir de lire ta fiche !

Après la validation
C'est maintenant que la partie commence vraiment ! Mais pas de panique, voici quelques liens pour te rappeler où tu dois aller pour bien commencer. Les liens en gras sont obligatoires !
- Le recensement des avatars : tu trouveras un formulaire à poster pour que l'on ajoute ton avatar à la liste. Comme ça, personne d'autre ne le prendra.
- Recensement des légendes (pour les monstres) : pour que tout le monde s'y retrouve et qu'on puisse voir qui est quoi !
- Recensement des capacités spéciales (pour les monstres) : pour que les autres puissent savoir quelles capacités sont utilisées.
- Recensement de ton occupation / métier : Ça, c'est pour tout le monde ! Sauf si tu n'en as pas, évidemment.
- Recensement des double-comptes : Si tu as un double-compte, il est obligatoire de le recenser par ici.
- Après avoir jeté un oeil au récapitulatif des habitations pour savoir quelles places libres il reste, tu pourra ensuite faire une demande de logement. S'il n'y a plus de places, no worries, tu peux parfaitement demander la création d'un nouveau lieu ! Par ailleurs, si tu as besoin que l'on crée un lieu différent d'un logement (lieu de travail, bar, etc), c'est par ici.
- Demandes de RP : si tu ne sais pas avec où commencer, poste un petit quelque chose par là, et quelqu'un te répondra !
( Jette un œil aux idées de scénarios ! Il s'agit de plein de petites idées de RP ou de dialogues pour s'inspirer, donc fonce !)
- Fiches de liens : elles ne sont pas obligatoires mais bien pratique pour savoir où tous les personnages en sont, et aussi pour prévoir de futurs liens et RPs !
- Carnet de bord : l'avancée de tes RP, en gros. De même, c'est principalement pour toi, pour que tu t'y retrouves.
Pour ces deux derniers, tu trouvera des modèles ici !

- Le flood : la fête tous les jours à toute heure. Yey.

Et en bonus : Pour la palette du forum, des titres en plus et des polices supplémentaires c'est ici ! Si tu veux des mises en page html pour tes RP, c'est par là.
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