▌Description du caractère : Bien que Bartholomet soit plutôt calme d'apparence il reste dicté par sa nature demoniaque: farce, cynisme et fourberies en tout genre sont son lot. C'est un démon ingénieux, capable de malice et d'artifice pour effrayer l'humanité. Néanmoins, sont coté vieux bouc de ferme miniature lui revient souvent en pleine face, et il préfère se terrer dans sa boutique au calme loin de l'agitation et de toute l'energie necessaire aux plans diaboliques de ses pairs.
Mais proposez lui une âme, un pacte ou un challenge, et vous verrez bientôt ses cornes à son front. Bartholomet ne peut résister au défi ou à la provocation. Il n'est pas d'un général très patient il faut le dire. Et bien que rien ne semble, en apparence, ébranler la grosse chèvre, il n'est pas impossible de le voir en colère. Elles restent tout de même inhabituelles et rares, mais ils vaut mieux fuir dans ce genre de cas, car il ne reculera devant rien pour anihiler ceux qui l'ennuient

▌Aimez vous votre condition de monstre ? Je suis un démon au même titre qu'un humain. Le concept de race, tout ça devient très vague après tant d'années d'existence. Je suis un démon au même titre que le concept d'humanité. Ça a ces avantages, ça a ces inconvenient, j'en conviens, mais ce n'est pas plus chiant ou plus excitant qu'autre chose.

▌Que pensez-vous des humains ? Il est assez partagé à ce sujet. Baphomet les trouve à la fois tout à fait touchants dans leur fragilité, leur mortalité et leur petite manies, la création de routines dans leur petite vie si courte. Et mon dieu, à la fois, qu'il est facile de les utiliser. Ne le jugez pas c'est ma nature: dévorer les âmes, tout ça...
La but de n'importe quel démon est l'accumulation de  croyants, des âmes qu'il obtient par contrat, il en va de même pour lui. Enfin, de la à dire, comme certains de ses cousins, que l'humanité n'est qu'un troupeaux d'âme entassées voué à la consommation comme l'allée biscuit de chez Wallmart, c'est un peu fort pour lui

▌Êtes-vous bien intégré à la société ? Si oui, avez-vous un métier ? Et si vous êtes étudiant, qu'étudiez-vous ? Si vous ne faites rien de cela, que faites-vous ? Oh la belle société humaine. Elle lui file du boulot oui, mais aussi du fil à retordre. L'avantage c'est d'y avoir un temple même, un lieux de culte mais Détroit reste une ville puante et affreusement étroite pour lui.  
Il y a  tout de même un magasin « fourre-tout » une sorte de quiancallerie, brocante, au coin d'une rue. Il y vends des télés, des objets tombés du camions, de l’électroménager, c'est aussi un dépôt-vente à l'occasion. la boutique se situe dans une ruelle silencieuse de la ville; dans la vitrine il y a de vieux postes de télévisions qui diffusent jour et nuit des images de tout et n'importe quoi. Tout est éclairé au néon, la boutique est remplie d'un fatras immonde. Au bureau, on peut y voir un homme à l'air maladif. Cependant les habitants de détroit craignent cette boutique. On dit que si l'on si rend à trois heure du matin, les télé de la vitrine diffuses des images étranges, violentes, où une ombre étrange figure. Le néon « open » s'éclaire et la porte s'ouvre  

Souhaitez-vous dévoiler votre véritable nature au reste du monde ? Clairement pas. Les humains ont beau l'air de s'être calmé niveau chasse aux sorcières, Baphomet se méfie des cabales religieuses et des casses-couilles en tout genre. Et puis, se découvrir aux humains c'est aussi se découvrir auprès de toute sorte de créatures qui vivent avec eux, et possiblement des archanges. Après... Si il s'agit d'un fan par-ci par-là ou d'un autre démon, Bartholomet n'y voit pas le mal.

Décrivez l'endroit où vous passez le plus de temps (une pièce chez vous, au travail, un endroit à l'extérieur, etc). Lé néon clignote en rose et bleu fluo dans le noir de la rue. On se croirait à Palm beach, en pluie froid et en moins glamour. C'est de mauvais goût, mais il semblerait bien que le proprio s'en foute. Quand on pousse la porte, derrière a grande vitrine remplie de télé de toute forme et tout âge, il y a un fatras encore plus énorme. Les tables dégueulent d'objets insignifiants et d'élécrtronique. Le sol craque autant que les radios empilées en haut d'un vieux buffet. Au fond il y a le comptoir, un de ces vieux comptoir en bois noir qui s'ouvrent d'un coté grâce à une planche qu'il suffit de soulever. Et derrière l'étagère de réveille il y a une porte, et derrière cette porte un bureau. Il y fait noir, une ampoule nue, retenue par un fil de plomb éclair la pièce. Il y a des monticules de paperasses, on dirait des contrats, certains sont jaunies, d'autres calligraphiées comme à l'époques, d'autres imprimés, très recent. Au milieu du fourbis une tête dépasse. Parfois des cornes, c'est l'endroit du maître de la boutique.

▌Physionomie : Quand il ne ressemble pas à un monstre, Baphomet ressemble à un paummé lambda de Détroit. Un paummé soigné tout de même. Il est très rare de voir Baphomet dans autre chose que des vêtement coupés sur mesure, ou tout droit sorti d'un imaginaire hipster underground, frôlant parfois la limite de l'esthétique camé déambulant à trois heure du matin.
Son visage est aussi sculpté et acéré qu'un modèle antique, un nez droit, des pommette saillante et des joues creusé faisant ressortir une machôire droite, lui donnent un air dur et strict. Ses yeux sont sombre, enfoncés au fond de leurs orbites, soulignés d'épaisses tâches sombres, des cernes violacées comme tatouées sous ses yeux.  

Autre apparence :