Cesare Da Conti
DC de Jacob K. Schröder ▌Espèce : Italien de Toscane pur pédigrée, pelage blond, vendu avec un appareille photo et un appartement de 84m². Pratique la danse classique, le yoga et footing. ▌Messages : 63
| Sujet: You're gonna make mistakes, you're young || Cesare Da Conti Jeu 5 Mar - 23:32 | Nom : Cesare Prénom(s) : Daconti Âge : 23 ans Nationalité : Italien Métier : On ne peut pas vraiment considérer ça comme un job, mais pour se faire un peu d'argent, Cesare truque des photos pour les vendre à des magazines sur le paranormal. N'étant qu'un simple étudiant – ai ayant une famille plutôt riche – il ni besoin, ni le temps d'avoir un vrai travail. Groupe : What's going on.
▌Description du caractère : Cesare, c'est un type sympa. C'est pas le genre asocial, même s'il apprécie le calme. Il va d'ailleurs pas mal vers les autres ! Faut dire qu'il adore être entouré, alors forcément, faire la fête, c'est son péché mignon. Même si c’est un trouillard, il aime tenter de nouvelle chose, mais finit bien souvent par regretter presque immédiatement. Il a aussi son petit caractère. Monsieur clame haut et fort qu'il n'est pas prise de tête, mais c'est tout le contraire. Il se pose souvent beaucoup trop de questions, ce qui lui pourrit parfois un peu la vie. Mais bon, il sait aussi se détendre et s'amuser, dieu merci. Il adore d'ailleurs faire des blagues nulles qui font souffler tous ses amis - et Les memes aussi, mais ça, chut, c'est un secret. C'est aussi le roi de la Prank (et pas toujours les plus drôles). Il est d'ailleurs un peu brute dé décoffrage avec ses amis et ses amours. Ouais, c'est un peu débile, mais c'est par la force qu'il exprime son amour ( entendez par là : câlins bien trop forts, grande claque dans le dos et sur les fesses, morsures et autres griffures...) Cesare, c'est aussi quelqu'un de sérieux, surtout dans les études. Il n'aime pas abandonner ses projets, têtu comme il est, et adore avoir le dernier mot, même avec ses profs – pourtant c'est pas quelqu'un d'irrespectueux. Quand il se lance dans quelque chose, il y va généralement à fond et finit toujours ce qu'il a commencé. Certains disent d'ailleurs que ça le rend parfois con, butté, borné et désagréable. C’est vrai, l'italien, ce n'est pas la douceur incarnée, même dans ses mots. Il a beau avoir un physique angélique, il peut être aussi froid que les marbres auxquels il ressemble. Parfois trop franc, il n'hésite pas à critiquer les autres – parce que c’est une sacrée langue de pute, mais aussi pour faire comprendre à ses amis ce qui ne va pas – que ce soit en face ou dans le dos des gens. Ouais, parfois, il manque un peu d'empathie.
▌Croyez-vous en l'existence des monstres ? Si oui en avez-vous déjà vu ? Ce genre de choses, Cesare n'y croit pas vraiment. Pour lui, ce ne sont que des contes, des histoires qu'on raconte le soir pour se faire peur. Étant d'un naturel plutôt terre-à-terre, les monstres ne dépassent pas pour lui le monde de la fiction et sont faits pour le cinéma et les bouquins. Ça ne va pas plus loin. De toute façon, s'il y croyait tant que ça, il ne s'amuserait pas à truquer des clichés pour se faire de l'argent sur le dos ce genre de croyances.
▌Que pensez-vous de cette fameuse vidéo qui a tourné sur le web ? Il la qualifie de « divertissante » et s'étonne à chaque fois comment certains youtubers peuvent faire d'aussi bons effets spéciaux. Non, sérieusement, il la trouve intéressante, mais n'y croit pas une seconde. Certes, elle est terrifiante et la voix de cette chose qui semble discuter avec le cameraman lui glace toujours le sang, mais pour lui, ce n'est rien de plus qu'un Hoax posté par un gars qui voulait faire parler de lui et se faire un peu d'argent. Rien que pour ça, ça le fait d'ailleurs rire que cette vidéo ai fait autant parler d'elle. Mais même s'il s'en moque, dans le fond, ça l'emmerde aussi un peu. On lui a tellement rabattu les oreilles avec ça qu'il en est presque dégouté. Pour Cesare, cette vidéo n'est pas meilleure que les centaines d'autres qui existent déjà sur la toile – franchement, vous avez vu combien y en a ? Vous pouvez pas me dire qu'il y en a pas au moins une qui est meilleure. Il ne comprend pas vraiment pourquoi on en fait tout un plat, même si certains professionnel disent qu'il n'y a aucune trucages – foutaises, vous dira-t-il. Mais bon, ça doit être la jalousie qui parle, vu qu'il aurait lui aussi aimé faire un aussi bon coup.
▌Vous sentez-vous à l'aise à Détroit ? Cesare a toujours aimé les États-Unis, vous savez, alors difficile de briser le fantasme qu'il a battit autour la terre des libertés. Et ouais, même Détroit n'a pas pu le dégouter du rêve américains ! Il vous dira même qu'il s'y plait, sans mentir en plus. C'est vrai que ce n'est pas tout à fait la même ambiance que sa chère Toscane, mais il ne s'en plaint pas. Il y a quelque chose d'assez paisible dans cette ville – ça vient surement du chaumage, ou de la faillite ? - que Cesare apprécie tout particulièrement. Même s'il aime la fête, ça fait du bien de pouvoir se balader tranquillement de jour. Puis, les rues sont jamais trop bondées, y a pas vraiment de bousculade dans le métro ou dans le bus, alors c'est tout bénef. En plus de ça, il a trouvé une bonne école de photographie, alors très franchement, il n'a pas grand chose à redire sur cette ville. Il a quelques potes, ils fait la fête, que demande le peuple ? Enfin...faut dire qu'il a la chance d'avoir assez d'argent pour ne pas côtoyer les quartiers trop craignos.
Mais bon, malgré tout, tout n'est pas rose. C'est vrai que la ville est dégueux et ça, il apprécie beaucoup moins. Sérieusement, vous aimeriez vous balader dans un parc laissé à l'abandon avec des bâtiments salis par la pollution ? Détroit, c'est pas vraiment une ville glamour, c'est clair. C'est moins beau que la Toscane, quoi – en même temps, à ses yeux, c'est difficile de surpasser sa terre natale niveau esthétique.
Quelles sont vos activités favorites ? Avez vous une passion ? Quand il était gosse, ses parents l'avaient forcé à suivre des cours de danse – parce que, vous comprenez, le classique, ça donne de la rigueur, ça sculpte et ça fait plein d'autres conneries du genre. Le truc, c'est qu'il n'a jamais vraiment arrêté. Même si il a eu bien des fois le droit à « mais c'est un sports de PD ! » de la part de quelques intellectuels, Cesare était bien trop épris de cet art pour prêter oreille à ce genre de commentaire. Il faut dire qu'il est bien dur de se sevrer d'une activité qu'on a pratiqué durant toute sa jeunesse - il suivait mêmes des cours dans une école privée de Florence et a fait quelques spectacles ! Et oui m'sieurs, dames, chez les Da Conti, on ne fait pas les choses à moitié. En même temps, il ne risquait pas non plus de cracher sur la danse, vu le corps que ça lui a permis de sculpter – puis sérieusement, quand on est enfermé dans une pièce remplie de belles personnes pendant 2 heures, qui est le vrai vainqueur dans cette histoire ? Alors, même s'il a dû arrêter les cours privés à cause de ses études, il continue toute de même de faire quelques exercises dans son appart'. Faut dire que Cesare, c'est un grand fan de sport ! Les footings, il adore, le yoga, il ne peut pas s'en passer. Il se lève tout les jours assez tôt pour avoir le temps de faire un peu d’exercice avant d'aller en cours. C'est un peu sa drogue, en gros. Sinon, il touche aussi un peu à la guitare -'fin, plutôt au ukulele.
Mais la vraie passion de Cesare reste la photographie. Capturer une images forte, belle et pleine de sens, il adore. Il a d’ailleurs tout une panoplie d'appareils chez lui : des Reflexs, des jetables, des polaroids, des plus ou moins vieux... Il en fait une véritable collection et les conserve même quand ils ne fonctionnent plus – c'est comme ça, il s'y attache à ces petites choses. Quoiqu'il en soit, il aime la photo sous toutes ses formes mais apprécie plus particulièrement les portraits. Il trouve que ce type de photo est bien plus parlant, plus touchant et permet bien plus de fantaisie ! Après tout, les paysages sont moins modelables – quoiqu'il aime beaucoup prendre en photo les villes. Il est aussi très fan de cette trend dont tout le monde se moque : les photos esthétiques. Même s'ils ne font aucun sens, il clamera haut et fort, mais surtout avec beaucoup de fierté qu'il adore ce genre de clichés. Pur lui, il n'y a rien de plus beau que l'abstrait, l'insolite et l'absurde. Alors, traitez-le d'hipster autant que vous voulez, il s'en fou.
Décrivez l'endroit où vous passez le plus de temps (une pièce chez vous, au travail, un endroit à l'extérieur, etc). C'est dans son salon qu'il passe le plus clair de son temps. Simplement décoré, les murs sont blancs et il y a du plancher brut au sol – je vous dit pas les échardes qu'il se prend dans les pieds. Il y a quelques posters de vieux films, ça et là, et des clichés bien connus du monde de la photographie. En tout cas la pièce est vaste, alors il a de quoi faire là-dedans. Premièrement, il y a la télévision, objet de valeur aux yeux d'un étudiant fans de séries en tout genre. Il passe donc des après-midi vautré dans son canapé, recouvert de couvertures avec un chocolat entre les mains. Ensuite, il y a son PC (pas le portable, hein, plutôt le genre de gros Mac que tu peux pas bouger) qui est placé sur un bureau dans une alcôve. Il bosse pas mal dessus étant donné qu'il édite souvent ses photos pour l'école. Puis, bah, forcément, il fait pas non plus que travailler sur son ordinateur, alors pour se détente, skyper avec les amis, écouter de la musique c'est pas mal non plus. Pour finir, il se sert aussi de cette pièce comme d'un studio photo quand il n'a pas la chance de pouvoir en payer un. Pour cela, il ferme tous ses volets, sort d'énorme spots de leur placard, tend des draps blancs -ou d'autre couleur - dans toute la pièce et prie pour que rien ne vienne rater la séance photo.
Quel est le bien auquel vous tenez le plus ? Pourquoi lui accordez-vous tant de valeur ? Vous allez vous dire que le monde de ce garçon ne tourne qu'autour de la photographie – ce qui n'est pas tout à fait faux, c'est sûr – mais son bien le plus précieux est un polaroid, le spirit 600 CL. Cependant, n'allez pas croire que ce n'est que parce que c'est une pièce de collection qu'il adore ce vieux machin, vous vous fourreriez le doigt dans l’œil jusqu'au coude. Cet appareille, c'est son premier ! Son papa lui avait offert pour ses 10 ans et c'est avec cette vieillerie qu'il a fait ses premières photos. C'est vous dire combien d'heureux souvenir il rattache à cet objet ! Quoiqu'il en soit, il continue toujours de l'utiliser – même si ça coûte cher en argentique. Ça lui rappelle le bon vieux temps, et puis il n'y a rien de plus jolie que la patine de cet appareille et rien de plus jouissif que d'avoir à secouer le papier photo à peine sorti du polaroid pour découvrir l'image qui a été capturée.
Qu'est-ce qui vous met le plus en colère ? Cesare déteste qu'on lui donne un ordre. Par-là, il n'entend pas les consignes scolaires et les demandes ainsi que les conseilles dis sur un ton sec. Non, ce qu'il déteste, ce sont les ordres, ceux qui vous réduisent à ce que vous n'êtes pas, ceux qui ne vous donnent d'autre choix que de faire une chose qui vous donne la nausée. Être forcé à faire une chose qui le sort de sa ligne de conduite, il déteste ça, surtout quand lui hurle dessus. Ça le met hors de lui. « Soit plus souriant » Ta gueule. « Te fais pas cette coupe » C'est tes cheveux ? Non. « Portes pas ça, c'est ridicule » Va te faire faire foutre. « Non mais t'as vu comment tu parles ? Tu devrais te taire. » Encore une fois, ta gueule. « Ne fais pas ça. » De quoi tu te mêles ?
Quelle est votre plus grande peur ? Cesare a peur qu'on le vole. C'est une phobie étrange et pourtant si commune qui l'obsède. La seule idée qu'on rentre chez lui, dans son espace personnel, pour venir le dépouiller de toute ce qu'il a, ça lui donne la nausée. Il ose à peine imaginer quelle serait sa réaction si jamais il avait à faire face à ce genre d'événement ! Enfin, oui, il a bien une petite idée : une énorme crise de panique. Mais outre le cambriolage, il déteste tout simplement qu'on s’immisce chez lui sans lui demander son avis. Ce genre de comportements le mettent dans un état entre la rage et l'anxiété.
Vous aimez-vous ? (question d'amour propre) Dans l'absolue, oui, Cesare s'aime. Il n'a pas trop de mal avec sa personne, en général, sauf bien évidement quand il broie du noir, mais ça n'arrive pas souvent.
Listez trois choses dans lesquelles vous vous considérez bon, et trois choses dans lesquelles vous ne l’êtes pas.
Cesare est bon :
- En danse, évidemment ! Bon, après il est très mauvais en salsa et toute les autres danses de salon, mais sur la piste, il se débrouille plutôt pas mal. Il réutilise parfois des mouvements de classique ce qui, étrangement, marche plutôt bien. Et puis, il a déjà fait de la danse moderne, ce qui au final aide pas mal. - Pour faire des cafés ! Et ouais, c'est un visionnaire de la boisson chaude, un maître de la cafetière – enfin, quand il abandonne sa machine pour les faire maison. Il choisit toujours de bon produit et y rajoute d'autres éléments. Mieux que le Starbucks : Cesare. - Comme cuisinier (mais seulement avec la bouffe italienne). Parce que, ouais, le photographe est un sacré cliché, mais il assume complétement. Il vous cuisinera donc toutes les sortes de pâtes que l'Italie aient jamais créé, vous fera de très bonnes tagliatelles, un risotto d'enfer et des pizzas de folie. Ne lui demandez simplement pas de faire autre chose, sinon vous risquez de déchanter.
Cesare n'est pas bon :
- Pour faire des blagues... Elles sont généralement presque toutes ratées et ne font rire que lui – aux éclats. Ce n'est pas qu'il a un humour gras ou trop sombre – quoique- mais disons qu'il aime l'absurde alors forcément, on ne s'y retrouve pas toujours... - Pour être romantique. S'il y a un moment à gâcher, comptez sur lui. Il a beaucoup de mal avec tout ce qui touche à l'amour, de façon générale. C'est aussi un très mauvais dragueur, en plus de ça. - Pour l'empathie. Il n'en a pas beaucoup. C'est son côté égoïste, faut croire.
Quelque chose à rajouter ? Non, même s'il est communiste, Cesare ne vous appellera pas « camarade »...
▌Physionomie : Les cheveux blonds, fins et bouclés, éclaircis par le soleil et le sel de la mer d'Italie ; une peau halée, presque dorée, et des traits harmonieux ; des yeux bleus, froids comme l'océan, perçants; de jolies petites fossettes qui se creusent à chacun de ses sourires : Cesare a un visage solaire, typique du physique méditerranéen. Comme celui de son père, son profil n'est pas sans rappeler ceux des statues grecques et romaines, sculptées par ses lointains ancêtres. Plutôt grand – monsieur mesure 1m78 – et bien bâtit, Cesare peut remercier la motivation qu'il trouve chaque matin pour faire un footing qui lui permet de garder un corps plutôt bien entretenu. Pour Cesare, se maintenir en forme est une chose ô combien importante, lui qui déteste être malade ou tout simplement à la ramasse. Faut dire qu'il n'aime pas trop le laissé allé – enfin, chez les autres il peu le tolérer, mais pas chez lui ! Sans non plus être trop superficiel, esthétique compte donc beaucoup à ses yeux. C'est d'ailleurs peut-être pour cela qu'il s'est mis au tatouage. Fan d'art, ils trouve qu'il n'y a rien de plus beau qu'un corps qui devient la toile de millier de dessins. Ainsi, le haut de son corps est couvert de mandalas, d'arabesques et d'autres signes plus ou moins abstraits. Néanmoins, même s'il est fier de ses tatouages, il prend toujours soin de les cacher sous ses manches et ses tee-shirts quand il va en cours, l'administration ayant du mal avec ce genre de chose. Peu de gens se doutent donc de l'existence de ces dessins gravés à même sa peau, si ce n'est ses amis les plus proches. Pour continuer dans l'esprit modification corporelle, Cesare avait aussi un piercing, fut un temps, un septum. Alors, même s'il ne le met presque plus, il lui arrive parfois de le porter. Cependant les occasions sont bien plus rares.
En ce qui concerne sa garde robe, on y retrouve une quantité astronomique de pulls ! Cesare voue un véritable culte au coton et à la laine. Il adore tout simplement ces deux matières qu'il trouve terriblement confortables, alors lui qui aime être à l'aise dans ses vêtements, il a tout de suite adhéré. Il porte donc souvent des sweatshirts très simples avec des pantalons retroussés assez colorés. Les bonnets, c'est aussi sa passion. Fourrer sa tignasse blonde dans ces merveilleuses choses tricotés, il n'y a rien de plus agréable pour lui. Au même titre, les écharpes et autres foulards font aussi partie intégrante de sa garde robe.
▌Quand et où êtes-vous né ? Cesare est né le 18 Mars 1992 à Florence, dans une voiture, parce que monsieur ne pouvait pas attendre que sa mère soit arrivée à l’hôpital pour sortir.
▌Quelle est la situation sociale de la famille dans laquelle vous avez grandi ? A-t-elle changé pour vous ? La famille Da Conti est loin d'être pauvre. Avec une mère journaliste est un père chirurgien, autant vous dire que leur fils n'a jamais manqué de rien. Il a même eut la chance de grandir dans une Villa non loin de Florence, alors franchement, il n'était vraiment pas à plaindre. Même s'il n'a jamais eu la chance d'avoir un frère ou une sœur, il avait au moins l'amour de ses deux parents qui eurent l’intelligence de ne pas trop le gâter, histoire de ne pas en faire un sale gosse. « Toujours ce qu'il faut, jamais trop » voilà quel était le credo de monsieur et madame Da Conti. Depuis, ça n'a pas trop changé pour Cesare, qui mène toujours une aussi belle vie. Même s'il essaye de gagner son propre argent, la fortune de ses parents reste une aide tout à fait précieuse pour cet étudiant.
Comment vous entend(i)ez-vous avez vos parents ? Avez-vous des frères et sœurs ? Il s'entend à merveille avec eux. Il faut dire qu'ils l'ont toujours soutenu dans ses choix, dans ses projets et on toujours été attentifs à ses problèmes. Même s'il y a eu des disputes – forcément, sans ça, on est pas une famille – Cesare adore ses parents. Il leur écrit d'ailleurs souvent. Cependant, il est vrai qu'il se sent ben plus proche de son père. Pas qu'il ne s'entende pas avec sa mère, soyons clair, mais ses centres d’intérêts et ceux de son géniteur sont souvent les mêmes. Et puis, c'est lui qui a lancé Cesare dans la photographie qui est à présent sa passion. Alors, même s'il s'y connait maintenant moins bien que son fils, il continue de l'aider dans la création de ses œuvres. Il est d'ailleurs souvent le premier à recevoir les nouvelles photos de Cesare, qui lui demande au passage d'émettre quelques critiques.
Si vous êtes allé à l’école, comment votre scolarité s'est-elle déroulée et quel genre d’élève étiez-vous ? Comment vous entendiez-vous avec vos camarades ? Sinon, quel genre d’éducation avez-vous reçu ? à l'école, Cesare n'a jamais fait de vague. C'était un garçon sage, à l'écoute et, sans être brillant, il était tout de même assez bon élève. Il n'a jamais été le pariât de service, ni le tyran de ses camarades. C'était un gosse on ne peut plus normal qui, à vrai dire, ne se faisait pas trop remarquer. Il n'y a qu'au lycée que tout cela à un peu changé. Découvrant les plaisirs de la fête, son travail c'est fait moins régulier et ses participations un peu moins nombreuses. Il faut dire que quand on se couche à cinq heure du matin, il est bien difficile de se réveiller à huit heure et d'être tout de suite performant. En ce qui concerne ses camarades, il était plutôt apprécié de ces-derniers. Après tout, l'italien n'était pas méchant pour un sous (même qu'au goûter, il avait toujours des sucreries, alors forcément...). À l'adolescence, ça n'a pas changé. Très sociable, il a rencontré pas mal de ses meilleurs amis durant les soirées lycéennes et même des gens d'autres classes. Plutôt frivole à l'époque, il a même fait plus ample connaissances avec d'autres...
Plus jeune (enfant, adolescent), quelles étaient vos activités favorites ? Si vous avez une passion, quand l’avez-vous découverte et comment ? Cesare a toujours fait de la danse classique. C'est ce que sa maman voulait, son père, lui, était plus d'accord avec cette idée que vraiment emballé par cette dernière, mais bon, face à l'entêtement de sa femme, il préférait ne pas se battre. Dès son plus jeune âge, vers cinq ans, il fut donc inscrit dans une école plutôt prestigieuse de Florence. Là-bas, Il apprit la rigueur, le travail, mais aussi à aimer cette activité, aussi dure fut-elle, si bien qu'il finit par en devenir passionné. C'était donc un vrai plaisir pour Cesare que d'aller assister à sa leçon quotidienne. Du moins, jusqu'à ce qu'il découvre une activité encore plu intéressante : la photographie. Il avait dix ans que son père lui offrit son premier appareille photo, un polaroid. Tout d'abord amusé par cet objet (faut dire qu'avoir son cliché dans l'instant, ça avait quelque chose de fun), il devint bien vite obsédé par la photographie, découvrant au fil des années de nouvelles techniques, des façons de faire, des courants différents... Ses premiers modèles furent bien évidemment ses parents, Puis ses amis et pour finir, des inconnues. Des appareilles, il en achetait au moins deux chaque année, en fonction des nouvelles sorties des marques, faisant de ses étagères un sanctuaire pour ses nombreux appareilles photos. C'est au lycée qu'il décida qu'il ferait de cet art son avenir. Après la terminale, il s'inscrit donc dans une fac à Rome avant de finalement partir pour une meilleure école en Amérique.
Quels ont été vos premiers amours ? Y a-t-il eu des litiges avec vos tuteurs ou avec d'autres personnes à ce propos ? Et en ce moment, où en êtes-vous ? Bien évidemment, il y a eu le premier bisous au primaire et cet amour innocent dont, à vrai dire, on ne sait presque rien. Ça, Cesare ne s'en souvient pas vraiment. Il sait que c'était avec une fille de sa classe, mais pour ce qui est de son nom, impossible de s'en souvenir. En grandissant, il a eut sa première petite amie, of course, une fille qu'il avait rencontré à l'anniversaire d'un de ses amis. Tout se passa bien, jusqu'à la rupture – forcément. Ce fut le premier chagrin d'amour du jeune homme, néanmoins il s'en remit bien vite. Il découvrit alors que les nuits passées avec les filles étaient parfois bien plus douces que les journées. Et oui, à seize ans, monsieur était déjà frivole. Il se rendit au passage compte que son attirance allait vers les deux sexes – merci jeune homme sans nom de la boîte de nuit – mais ne s'en inquiéta pas plus que ça. Faut dire que ses parents l'avaient toujours élevé pour qu'il ait une certaines ouverture d'esprit – il ne leur avoua d'ailleurs que bien plus tard et ces derniers accueillirent la nouvelle avec sérénité. Ses années Lycée furent donc comme trois ans de découverte approfondi des filles et des garçons sans réel engagement. C'est seulement à vingt ans qu'il rencontra le véritable amour sous la forme de Louise, une française qui était venue faire ses études à Rome, dans la même fac que Cesare. Il appris à parler français pour elle, se fit plus sage et devint plus doux. Hélas, leur histoire ne dura que deux ans, se finissant dans une gare, devant le train que Louise devait prendre pour repartir en France.
Où logez/vivez-vous en ce moment ? Pourquoi avoir choisi cet endroit ? Cesare loge dans le centre ville, dans un F4 plutôt sympa. Faut dire qu'il s'est pas gêné, sachant qu'il avait les moyens de s'offrir un tel logement.
Aviez-vous, ou avez-vous encore une personne que vous considérez comme un modèle à suivre ? Pas particulièrement. Cesare préfère suivre sa propre voie. Même s'il a beaucoup de respect pour son père, il ne cherche pas forcément à lui ressembler ou à le prendre comme modèle.
▌Il nous est à tous arrivé des évènements marquants. De grandes peurs, d’immenses surprises ou des joies qui font ce que nous sommes à présent. Quant à vous, quel genre d’évènement vous a vraiment marqué ? Lettre datant du 12/08/2013
« Papa, maman,
Je voulais juste vous dire que tout va bien. Je suis arrivé hier un peu tard, alors c'est pour ça que je n'ai pas pu appeler. En tout cas, l'appart' est vraiment super, comme sur les photos ! J'ai commencé à défaire mes valises, mais je dois admettre que je me suis endormi dessus hier, alors il me reste encore pas mal de chose à déballer. Les cartons sont d'ailleurs arrivés aujourd'hui, ce qui me fait encore plus de boulot, mais je m'en plaint pas, j'ai l'impression que c'est Noël avec toutes ces boîtes à ouvrir. En tout cas la ville est sympa. C'est vraiment différent de Florence – déjà il fait super froid – mais c'est pas désagréable. Détroit, c'est plus grand que ce que je pensais, en fin de compte, et y a plein de parcs -donc je vais pouvoir m'en donner à cœur joie pour aller jogger - même si parfois c'est un peu calme. Enfin, c'est pas non plus mort, hein, et de toute façon, je suis pas tout seul, y a Paula et Jude qui habitent pas trop loin. D'ailleurs, elles m'ont fait visiter l'école ce matin ! Franchement, c'est pas très grand, mais y a tout ce qu'il faut. En plus, ils ont un petit studio au sous-sol alors, même si je suppose qu'on va devoir se battre avec les autres étudiants pour y aller, c'est cool. Puis, le bâtiment est joli et les profs sont vraiment gentils, donc je n'ai rien à redire (et tant mieux). Au passage, pour infos, les cours commencent la semaine prochaine, doc, Maman, si tu pouvais éviter de m'appeler en ne prenant en compte que l'heure italienne, ce serait super (je t'aime toujours autant, à part ça). D'ailleurs, tu m'avais demandé s'il y avait des écoles de danse ici, mais je suis au regret de t'annoncer que ce n'est pas le cas. Je continuerais de m'entrainer à la maison, faute de pouvoir prendre des cours.
En tout cas, encore merci d'avoir laissé votre seul – et merveilleux – fils aller faire sa vie en Amérique. Je ne regrette franchement pas – même si vous me manquez – et je pense que je vais me plaire ici.
Je vous embrasse très forts. Votre fils qui vous aime, Cesare.
PS : Papa, tu trouveras au dos de la lettre une photo de la vue que j'ai de ma fenêtre. Je l'ai prise avec le polaroid que tu m'avais offert. »
Pseudo : Ju Age : 19 ans Comment vous êtes vous retrouvé sur DM ? Dc de Jacob wesh Personnage sur l'avatar : Enjolras (les misérables) Un mot de la fin, une suggestion ? ily guys |
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