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Nera Y. Shimizu △ monster grow |
| Invité
| Sujet: Nera Y. Shimizu △ monster grow Ven 9 Oct - 23:00 |
NERA YUKIE SHIMIZU 23 ans - canadienne - bibliothécaire - wendigo - wanna fight ?
Pouvoirs : forme de wendigo : mort-vivant à demi-décomposé, dont le corps a muté pour devenir une et demie à deux fois plus grand qu'un humain lambda. sa force est décuplée et sa résistance au froid est poussée à son maximum, sous la condition d'avoir mangé récemment. sa faim est insatiable et toujours grandissante, mais ne peut pas le tuer ; il se nourrit de chair humaine uniquement, parfois de chair animale et de légumes mais ils ne lui permettent même pas de remplir un peu son estomac sous cette forme. il est immortel et ne peut succomber qu'au feu, aux balles en argent et à l'attaque d'autres wendigowak s'ils mangent son cœur de glace très calorique - c'est la seule chose qui les empêche de manger pendant une semaine avant que la faim ne revienne. △ sous chacune des deux formes, un wendigo peut se régénérer grâce à des infusions de plantes médicinales, et éventuellement geler sa faim pendant quelques jours si absorbées en grandes quantités.
Faiblesses : forme humaine : humain souvent famélique, au teint maladif et aux yeux rouges caractéristiques. cette forme est intenable plus deux deux jours consécutifs et ne lui permet pas d'absorber autre chose que de la viande - de préférence humaine, mais aussi animale - et avec de l'habitude, des légumes ou fruits ; plus le wendigo prend cette forme, plus celle-ci est tenable longtemps sans pour autant dépasser une semaine consécutive environ. sa santé est faible, sous cette forme il est vulnérable et aucun médicament humain ne peut arranger les choses, seule leur viande ou les infusions de plantes peuvent les requinquer. △ les infusions, quand elles étanchent la faim pendant quelques temps, l'empirent une fois leur effet estompé △ sous la forme humaine comme wendigo, le feu, les balles en argent et les autres wendigowak peuvent le tuer.
Miroir de l'âme ▌Description du caractère : solitaire : elle ne cherche ni le contact humain, ni celui d'autres animaux, et préfère s'en tenir à distance raisonnable. △ individualiste : elle ne voit pas l'intérêt de partager des choses avec ses 'semblables' humains, et même les autres wendigowak. △ autonome : elle n'a besoin de personne d'autre qu'elle même pour exister, et le prouve en travaillant dans sa propre bibliothèque doublée de son propre salon de thé, et en ayant son propre jardin comme alternative à la viande humaine, entre autres. △ polie : ce n'est pas parce qu'elle ne cherche pas la compagnie qu'elle ne l'apprécie pas. elle est en général calme et polie avec ses clients, autant pour les conseiller que pour discuter un peu avec eux autour d'une tasse de thé. △ renfermée : elle discute, mais ne confie jamais beaucoup à ses interlocuteurs. elle a un bon nombre de sujets tabous, où elle évite les questions ou répond une histoire construite de toutes pièces. △ calme : à moins de l'énerver - et dans ce cas, vous ne serez pas en mesure de vous rappeler ce qu'il s'est passé.. -, elle est quelqu'un de relativement calme, qui n'a pas de pics de bonne ou de mauvaise humeur. un petit sourire par ci, par là, pour faire gentil, mais rien de plus. certains la trouvent même un peu trop inexpressive à leur goût. △ perverse : eh oui, chacun son côté caché mesdames et messieurs. même si elle a l'air très calme et prude, elle est en réalité très ouverte d'esprit sur ce genre de sujet, et se permet même quelques blagues salaces à la Rabelais. ce n'est pas un ange, loin de là, à quoi vous attendiez vous ? △ insensible : elle semble concernée par les humains, mais en réalité elle se fiche totalement de leur condition, ainsi que de celle des autres wendigowak. elle s'en amuserait presque.. △ sadique : elle aime voir souffrir, petite ou grande créature, tout lui va. son plus grand jeu, c'est de lancer des couteaux sur des animaux ou - malencontreusement - sur ses prochaines proies, pour leur faire intimement comprendre leur sort ; d'où son importante collection de petits couteaux. △ colérique : on ne met jamais, au grand jamais, en colère un wendigo. c'est extrêmement valable pour Nera, qui n'hésitera pas sous forme humaine à simplement vous faire un petit coup pour se venger et faire oublier l'histoire aux témoins, puis sous sa forme originelle vous dévorer membre par membre, en jouant avec vos tendons et vos nerfs, à proprement parler.
▌Aimez vous votre condition de monstre ? Plutôt, oui. A vrai dire, j'ai toujours idéalisé les monstres des histoires au lieu de les craindre, et j'ai toujours pensé que leurs motifs étaient plus valables que ceux des justiciers. La bête humaine, ces pseudo monstres, pourraient m'intéresser, mais au lieu de cela je préfère les mépriser : c'est juste une sous-race en grand nombre qui prétend par des dons divins et des capacités mentales en déficit s'élever au rang de monstres, ou encore mieux, de dieux.. Mécréants. Je préfère leurs écrits ou étudier leur psychologie, c'est bien plus intéressant. Pour être totalement honnête avec vous, j'adore la souffrance humaine ; alors torturer une godiche perdue dans la forêt ou manger vivant un mioche qui a fugué de chez lui, c'est assez agréable et.. distrayant. Cependant, puisque j'étais humaine avant de devenir ainsi, je ne me considère que comme un semi-monstre et ne pense pas égaler mes supérieurs, les monstrueux de naissance.
▌Que pensez-vous des humains ? Ils ne valent pas la peine d'exister, je ne sais pas vraiment pourquoi ils sont là. Ils nous traitent comme des erreurs ou des bêtes de foire, preuve de leur indécision et synonyme de leur imbécilité. Que possèdent-ils, eux, pour s'estimer supérieurs à nous et se donner le pouvoir de nous étudier ? Je pense qu'à choisir, nous méritons bien plus ce droit qu'eux.
▌Êtes-vous bien intégré à la société ? Si oui, avez-vous un métier ? Et si vous êtes étudiant, qu'étudiez-vous ? Si vous ne faites rien de cela, que faites-vous ? Je dépends des humains dans mon alimentation, alors je dois vivre parmi eux malheureusement. Ainsi, mon amour pour les livres et ma nécessité de consommer divers thés et infusions pour rendre plus agréable ma vie ont fait que j'ai pu acheter pour très peu une vieille bâtisse à deux étages dans la vieille ville, où j'ai installé ma bibliothèque et mon salon de thé au rez-de-chaussé et mon appartement au premier étage.
Souhaitez-vous dévoiler votre véritable nature au reste du monde ? Eh bien, je ne répondrai ni oui ni non. En dévoilant mon identité, la chasse sera beaucoup plus ardue et je devrais quitter mon logement, mon lieu de travail, ainsi que mon travail par le même biais. Si je ne quittais pas Détroit je n'aurais soit plus de clients, soit je subirai une chasse au wendigo qui ne me tuerait probablement pas, mais qui m'agacerait plus qu'autre chose. Et qui sait, peut être que je finirai en laboratoire ? Non, non. Je préfère rester dans l'ombre, car même si faire régner mon pouvoir à la lumière du jour serait très agréable, ce serait impossible.
Quelles sont vos activités favorites ? Avez vous une passion ? J'adore la littérature, autant la lire que l'écrire, c''est bien pour ça que je possède une bibliothèque en ville. J'aime surtout la littérature des Lumières et les récits du romantisme ; non, pas du romantique à la Twilight, quelle horreur ! S'il y a bien quelque chose que je déteste en littérature, ce sont les écrits contemporains comme celui-ci, ils me donnent la nausée. J'aime aussi le dessin, mais encore plus la peinture, j'ai d'ailleurs une pièce au premier étage réservée à ces pratiques. Quoi de plus relaxant que d'étaler sur la toile ce que les mots ne peuvent décrire ?
Décrivez l'endroit où vous passez le plus de temps (une pièce chez vous, au travail, un endroit à l'extérieur, etc). Je pense que c'est bien entendu mon domicile, enfin le rez-de-chaussée, le « Raiburari Yuki » ! Toutes les premières pièces de la maison sont réservées aux livres, la plupart des cloisons ayant été abattues pour plus de facilité dans le rangement. Il reste en réalité trois pièces à cet étage : une très grande, occupant la majorité de l'espace, où sont exposés d'un coté les livres dans de grandes étagères et de l'autre des tables pour le thé où l'on peut continuer ses lectures en sirotant une infusion de plantes et en savourant quelques gateaux ; une autre plus petite derrière le comptoir où sont installés les livres que je n'ai pu ranger dans les étagères ou que j'ai en double, en somme une réserve d'une dizaine de mètres carrés qui débouche sur la cuisine ; puis une pièce d'une taille égale à la réserve, peut être à peine plus petite, munie d'étagères, de placards, d'un frigo et d'une cuisinière, qui sert de cuisine à cet étage et permet de ranger tous les thés et toutes les plantes pour les infusions, ainsi que de préparer tous les petits gâteaux, biscuits, chocolats chauds et collations en hiver. L'ensemble est décoré dans un style plutôt rustique et baroque, les meubles sont pour certains originaires de la maison et pour d'autres de brocantes, quelques tableaux de style renaissance ou de natures mortes ainsi qu'une vieille épée authentique héritée de ma famille sont accrochés sur les murs tapissés de motifs fleuris un peu vieillots mais toujours en bon état, et les tables sont typiquement des tables de café des années trente. J'y passe toujours un petit fond musical calme, souvent du piano ou du violon, et je parfume l'endroit à la violette et aux vieux livres. C'est mon petit paradis !
Quel est le bien auquel vous tenez le plus ? Pourquoi lui accordez-vous tant de valeur ? Sans hésiter, le couteau de ma mère. C'est un petit couteau papillon en argent dont la lame ne doit pas dépasser les dix centimètres, et dont le manche est orné de roses gravées. Ma grand-mère le lui avait offert quand elle était petite, et mon arrière-grand mère le lui avait elle-même offert. Ma mère ne me l'a pas offert puisqu'elle est morte avant, et je l'ai récupéré sur son corps.
Qu'est-ce qui vous met le plus en colère ? Qu'on ne respecte pas sa place et qu'on se prenne pour plus gros que soi. Les humains font souvent ça, et c'est bien pour ça qu'ils m'exaspèrent !
Quelle est votre plus grande peur ? Les chiens, je déteste les chiens ! Ils me font peur, je ne sais pas de quoi ils sont capables et ce qu'ils comptent faire. Et en plus de ça, ça a l'air d'être réciproque ! Je déteste avoir peur, je perds tout mon honneur dans ces moments là, alors devant un chien..
Que faites-vous pour pallier au stress ? Je lis un livre, ou je dessine. Le plus souvent, je joue aussi avec le couteau de maman, à le faire tourner en l'air, le lancer dans un arbre, ou le planter dans quelqu'un. Optionnellement bien sûr.
Quelle est la routine d'un jour normal pour vous ? Comment vous sentez-vous si cette routine est rompue ? Le réveil sonne tous les jours à sept heures chez moi, que j'ouvre le Raiburari Yuki ou pas ; en général c'est quelque chose que je décide selon mon ressenti, si je sens que la faim est trop forte et que je vais devoir me transformer, je le laisse fermé. Comme ce genre de matin est aléatoire, le Raiburari peut être ouvert ou fermé n'importe quel jour, ce qui importe peu au quelques clients fidèles qui prennent simplement ce genre de fermeture inopinée comme un jour où je ne me sens pas très bien à cause de ma santé fragile. Ainsi, soit je sors dans la foret sans attendre et je pars chasser ; soit je me lève, je vais faire ma toilette puis me maquiller un peu, et je vais me faire un thé avec des fruits et un peu de viande, humaine ou pas, que je garde dans mon frigo. Ensuite, je vérifie que j'ai assez d'ingrédients pour faire les gâteaux et autres amuse-gueules, le cas échéant je vais à l'épicerie aller les chercher puis je commence à préparer les premiers produits. Une fois la première fournée mise à cuire, je vais ouvrir le magasin, il est alors en général aux alentours de neuf heures, puis je retourne à mes fourneaux. Je sors de temps en temps de la cuisine, surtout quand j'entends la cloche de la porte retentir à son ouverture, pour aller accueillir ou conseiller les clients, voire leur apporter leur collation. La plupart des habitués viennent prendre leur petit déjeuner ici vous savez, c'est plutôt agréable de se réveiller pour aller déguster un bon thé et des mignardises au milieu de bouquins. Après, certains restent, d'autres partent, le commerce fait bon train la matinée. A midi je le ferme et remonte dans mes appartements pour manger, de la viande du frigo encore si je ne sens pas le besoin de me transformer, et si c'est le cas je vais dans la forêt. J'ouvre de nouveau le Raiburari Yuki vers treize heures en général, parfois treize heures trente si je suis allée en forêt, quatorze si j'ai prit plus de temps que prévu. Si besoin, je remonte un peu dans mes appartements avec la réouverture pour me remaquiller ou changer mes vêtements au cas où ils seraient tachés - même si je les retire, rien ne m'empêche de les salir en les enfilant.. - puis je descends et reprends mes préparations après avoir inversé le sens du panneau « closed » à « open ». L'après-midi se déroule comme la matinée, et le soir, vers vingt heures, je change de nouveau le côté du panneau et verrouille la serrure. Si je ne suis allée à la forêt ni le matin ni le midi, j'attends que la nuit tombe pour aller chasser soit en forêt, soit en ville, et je mange. Je ramène toujours de la viande en plus pour la consommer plus tard. Si je ne sors pas, je reste chez moi et je bois des infusions en mangeant la viande qu'il me reste et en lisant un livre, parfois en peignant dans mon atelier à l'étage. Vers dix heures, après avoir eu un peu de temps à moi pour diverses choses comme le ménage, le rangement, la peinture ou encore les recherches, je vais me coucher en jouant avec le couteau de maman, puis je le pose sur ma table de chevet et je m'endors.
Vous aimez-vous ? (question d'amour propre) Je suis quelqu'un d'objectif, alors je ne me considère pas comme la meilleure personne du monde. Tout le monde à ses défauts et ses qualités, et je ne suis pas du genre à me surestimer mais plutôt à évaluer mes réelles capacités et à les considérer. Cependant, je me considère quand même bien supérieure à ces pauvres humains ; et parce que j'en étais une par le passé je ne me considère et ne m'aime pas non plus autant comme un monstre natif de sa race. Étant donc entre les deux, je répondrais que oui pour ne pas être totalement négative ; mais ce n'est qu'un demi oui, puisque cette notion n'existe pas.
Listez trois choses dans lesquelles vous vous considérez bon, et trois choses dans lesquelles vous ne l’êtes pas. Commençons par le mieux : je suis douée en cuisine, domaine qui représente quand même la moitié de mon travail. Mes clients sont tous très satisfaits de mes produits, et je suis satisfaite de ce que j'ai fait aussi. Je pense que je fais d'assez bon produits pour y glisser de la viande humaine sans que les clients ne s'en aperçoivent, mais je ne veux pas rendre mon chiffre d'affaire bancal, ce n'est pas avec mes livres que je pourrais le remettre d'aplomb. Je pense aussi être douée en réflexion, puisque je suis capable de mener une discussion poussée avec des amateurs de littérature et que mon intelligence n'égale pas celle d'un pigeon. Et enfin, je suis bonne en travaux manuels ; tout ce qui concerne le bricolage, la réparation basique de certains objets et la débrouillardise, je m'en sors plutôt bien et je trouve facilement des solutions astucieuses. Je peux aussi être douée de mes mains dans d'autres domaines, mais ce n'est pas la question.. Ensuite, je peux vous confirmer que je suis très mauvaise dans le domaine de la communication et des relations, même avec mes congénères. Parfois, un individu peut m'intéresser et je ferai un effort qui s'avèrera souvent peu concluant, autrement je mimerai un semblant de relation lambda. Aussi, j'ai toujours été et je suis encore - même si depuis, sous ma forme humaine, les choses n'ont fait qu'empirer à ce niveau - totalement nulle en sport. Mauvaise endurance, trop lente, mauvais travail d'équipe et mauvais compréhension ou application des consignes individuelles, en bref une incapable.Je ne sais même pas jouer au basket, pour tout avouer.. Mes notes s'élevaient à la température du Canada en plein hiver à l'époque où j'étais encore évaluée. En parlant d'évaluation, j'ai toujours eu de bonnes note en art à l'école, même quand j'ai pu me spécialiser dans cette matière au lycée, mais ce n'est pas pour autant que je me trouve un quelconque talent. On dit souvent qu'un bon artiste est un artiste qui ne s'affirme pas parfait, je pense que c'est vrai ; mais on dit aussi qu'il faut une exception pour confirmer une règle.
Quelque chose à rajouter ? Mh.. je ne sais pas trop. Je ne pense pas avoir dit que je possède une petite pièce donnant sur ma chambre où je range ma collection de couteaux. Oui, certains ont un dressing, moi j'ai une collection de couteaux, je sais que c'est bien étrange mais je me passionne pour ces lames. J'ai aussi un chat, Pandore, un chaton de quatre mois que j'ai trouvé, tout petit et pas encore sevré, en ville un soir. C'est un petit angora noir, avec une tâche blanche ressemblant vaguement à un croissant de lune sur le front. Il est peu sociable, mais il aime dormir dans les étagères de la bibliothèque et je ne peux pas le laisser enfermé en haut, ce serait trop cruel. Il n'a attaqué aucun client et se laisse caresser, c'est le principal et bien la seule chose que je puisse lui demander.
▌Physionomie : gabarit : petite et fine, environ 1m65 pour une petite cinquantaine, voire quarantaine de kilos. elle a une ossature légère avec peu de muscles et encore moins de gras dessus. △ peau : très pâle, abîmée et à tendance sèche, même si elle en prend le plus grand soin. quelques tâches de rousseur dans le haut du dos et sur les épaules, le reste étant comme de la porcelaine craquelée par endroits, notamment aux articulations et le long de la colonne vertébrale, mais aussi aux poignets et chevilles. △ cheveux : blancs et courts, toujours en bataille, avec deux mèches un peu plus longues devant tressées d'un ruban vert. ils sont très fins et un peu secs, son albinisme doublé de son alimentation grandement végétarienne et de sa condition de wendigo ne leur permettant pas de pousser trop longs sans casser. △ visage : fin et légèrement anguleux sur les joues, à la peau délicate. ses yeux sont rouges à cause de son albinisme, ce qui lui permet de cacher sa nature de wendigo qui les rend normalement rouges mais baisse considérablement sa vue et sa résistance au soleil ; ils sont tantôt espiègles et inquisiteurs, tantôt placides voire vides. son nez est petit et fin, presque de type européen. ses pommettes présentent quelques tâches de rousseur et forment un creux sous ses joues, la ligne de celles-ci est plutôt marquée. ses lèvres sont peu pulpeuses et d'un rose léger, son arc de cupidon forme quasiment un cœur se fondant sur sa peau pâle. ses oreilles sont percées de deux trous, l'un - le premier, au centre du lobe - accueillant un petit plug noir de huit millimètres, et le second un anneau argenté. elle a un grain de beauté derrière l'oreille droite. △ style vestimentaire : tout sauf celui d'une personne lambda. un peu gothique, un peu renaissance, un peu moyen âge, parfois un peu plus punk sans être trop trash, voire presque hippie. un style nuancé en somme, mais toujours dans tes tons sombres et dans la mesure du possible, des froufrous et des ras-de-cou élégants.
Autre apparence : forme de wendigo, ici : gabarit : créature humanoïde d'environ deux mètres au corps plus famélique que squelettique. ses côtes sont apparentes, et ses doigts plus longs que sous sa forme humaine, crochus et interminables. son bassin et son buste sont étroits, ses clavicules et sa colonne vertébrale sont tellement en relief qu'on pourrait croire qu'ils vont arracher la peau les recouvrant, ce qu'il se passe par endroits d'ailleurs. △ peau : blanche et abîmée, plus encore aux articulations et la mâchoire, qui est déboîtée mais encore utilisable. globalement aussi froide que la température ambiante, ce qui au Canada ne fait pas très chaud, mais encore plus froide vers le sternum, où le cœur de glace du wendigo demeure. cet endroit est légèrement bleuté, mais dans le noir de la nuit il est impossible de notifier cette si peu importante coloration que les wendigowak sentent cependant. △ cheveux : longs et lisses, toujours aussi abîmés voire plus. toujours blancs mais plus longs que sous la forme humaine, s'étalant en cascade sur les épaules décharnées. △ visage : presque plus défini, la peau s'étirant dessus pour couvrir la superficie d'une bouche déboitée remplie de dents acérées de tailles variées. ses yeux son blancs et vides, la pupille et l'iris étant d'un gris tellement clair qu'on les confond avec le reste de l’œil. le nez est comme sur un crâne, dépourvu de cartilage, et forme simplement un creux.
Histoire ▌Quand et où êtes-vous né (précisez quelle époque si elle n’est pas ‘actuelle’) ? Je suis née le 21 juin 1992 à Fukuoka, sur l'île de Kyūshū au Japon.
▌Quelle est la situation sociale de la famille dans laquelle vous avez grandi ? A-t-elle changé pour vous ? Mon père et ma mère étaient jeunes quand ils m'ont eue, je sais très bien qu'ils se seraient mieux portés sans moi mais qu'ils m'ont quand même gardée. Ils n'avaient pas d'enfants et n'étaient ensemble que depuis deux ans, alors la situation et l'apprentissage de la vie parentale ont été compliqués pour eux, mais ils m'aiment quand même. Leurs parents n'étaient au début pas du même avis qu'eux, surtout parce que j'étais malade de naissance, mais ils ont fini par accepter leur décision.
Comment vous entend(i)ez-vous avez vos parents ? Avez-vous des frères et sœurs ? J'ai été leur seule et unique fille pendant dix années, où ils ont appris à s'occuper d'un enfant et à l'élever. Ils étaient parfois hasardeux, mais découvraient les plaisirs de la parenté au jour le jour. J'étais très complices avec eux, et je ne m'imaginais pas une journée sans papa et maman. Mais au bout de dix ans, Takeshi est né et a véritablement volé tout l'intérêt qu'ils avaient pour moi. Alors qu'à l'aube de mon adolescence je commençais à me poser des questions sur le monde qui m'entourait, mes parents maladroits m'abandonnaient au détriment d'un bébé. Mon frère ? Moi, je n'avais pas ce genre d'instinct envers lui ; à mes yeux ça avait toujours été une « crevette incontinente » qui présentait plus d'intérêt par le fait de dire « caca » que moi avec mes relevés scolaires. J'ai commencé à changer à ce moment là, en devenant plus autonome et indépendante ; et heureusement que j'avais prit cette initiative, car quelques années plus tard la situation ne s'était toujours pas améliorée.
Si vous êtes allé à l’école, comment votre scolarité s'est-elle déroulée et quel genre d’élève étiez-vous ? Comment vous entendiez-vous avec vos camarades ? Sinon, quel genre d’éducation avez-vous reçu ? J'étais le genre d'élève silencieux, qui écoute et ne parle pas, autant au professeur qu'aux autres élèves. Ma maladie étonnait toutes ces petites têtes brunes aux yeux noirs, peu importe la classe et l'année, et ce pendant des années, alors je n'ai jamais vraiment eu d'ami ; j'ai même plutôt eu tendance à être la victime de brimades, mais mon tempérament calme sans pour autant être bien trempé par moments tendait à dissuader les voyous. J'étais studieuse et je faisais tout pour m'attirer les louages de mes parents grâce à mes notes, puis au fur et à mesure que tout revenait sans cesse à Takeshi, j'ai étudié pour moi-même et fini par trouver tout ça assez facile.
Plus jeune (enfant, adolescent), quelles étaient vos activités favorites ? Si vous avez une passion, quand l’avez-vous découverte et comment ? J'ai commencé à dessiner dans les coins de mes feuilles quand j'avais douze ans, à peu près. Très vite, alors que les cours semblaient si faciles, je me permettais de les remplir de tout et n'importe quoi, de roses et de petits chats, et même parfois de visages familiers. Les coins de page ont finit par se transformer en feuilles entières, et j'ai quasiment arrêté de suivre les cours. La passion pour la lecture est venue quand je rattrapais ces cours passés à dessiner. Je lisais alors de tout, autant des ouvrages scolaires que littéraires ou de journalisme, et je me suis réellement penchée sur la littérature française par la suite. J'apprenais le français en seconde langue étrangère à l'école, et j'ai ainsi beaucoup progressé dans ce dialecte.
Quels ont été vos premiers amours ? Y a-t-il eu des litiges avec vos tuteurs ou avec d'autres personnes à ce propos ? Comme je n'ai pas vraiment eu d'amis, je n'ai jamais vraiment eu ce genre d'expériences. Il y en a bien eu une cependant, au lycée ; un élève étranger transféré dans ma classe m'avait balbutié dans un japonais tout juste compréhensible que mes cheveux et mes yeux étaient très jolis, et qu'il voulait être ami avec moi. Je me souviens juste ne pas avoir su quoi dire, et de lui avoir rétorqué que je n'avais pas compris avant de retourner en classe. Aujourd'hui encore je me demande parfois qui il était, puisque je n'ai toujours pas réussi à identifier son accent et que son visage demeure flou dans mon esprit.
Où logez/vivez-vous en ce moment ? Pourquoi avoir choisi cet endroit ? Je vis au dessus du « Raiburari Yuki », ma bibliothèque salon de thé, situé dans les vieux quartiers de Détroit. J'habite le premier étage de la bâtisse qui accueille mon commerce, ainsi je suis plus proche de mon travail et je n'ai pas de doublons de factures à payer. Mais la praticité n'est pas le seul paramètre, puisque je ne suis pas originaire de la région ou même du pays ; mes parents ont déménagé au Canada pour des raisons d'emploi, puisque mon père a été muté là-bas ma mère l'a suivi. Moi, j'y suis allée parce que je ne savais pas quoi faire de mon diplôme et que je n'avais rien à perdre à aller dans un pays où il y a plus d'emploi qu'au Japon. Takeshi est resté au Japon avec mes grands-parents, parce qu'il l'avait souhaité, j'avoue que sa décision aurait dû me plaire mais ne m'a fait ni chaud ni froid. Enfin bon, je vivais avec mes parents jusqu'à ce qu'ils meurent, ensuite j'ai dû me débrouiller et j'ai trouvé la ville maison où se tient actuellement le « Raiburari Yuki ».
Aviez-vous, ou avez-vous encore une personne que vous considérez comme un modèle à suivre ? Non, pas du tout. Je n'ai jamais vraiment eu de modèle, même enfant, et encore moins maintenant. A mes yeux, quand on est pas soi on est personne, alors pas besoin de modèle. J'ai cependant beaucoup soutenu les monstres et les méchants des histoires depuis toujours, autant dans les histoires que dans l'Histoire, et étant devenu un monstre je ne pense pas qu'on puisse assimiler cette adoration à une forme de modèle.
Avez-vous un but que vous souhaitez atteindre à tout prix ? Si oui, où en êtes-vous ? Je n'ai aucun but, je ne veux juste pas que les humains persistent à vouloir nous mettre en cage ou du moins à nous nuire. Ils ne nous détruiront pas de toute façon, mais ils ont déjà commencé à détruire mes nerfs.
Qu'est-ce que vous considérez comme votre plus grand accomplissement ? Je pense que ce serait ma transformation. Je suis une nouvelle personne depuis celle-ci, et malgré les souffrances encourues durant la transformation, je me sens plus vivante que je n'ai jamais pu l'être. Dans un sens, je dois remercier ma mère pour ça, pour m'avoir mise au monde et m'avoir permit de devenir un monstre.
Quelle est la chose la plus embarrassante qui vous soit arrivée ? Je pense que le fait d'avoir mangé ma mère répond parfaitement à cette question. Depuis qu'elle a eu un second enfant je n'avais plus le même rapport avec elle, mais c'était quand même ma mère, la personne qui m'avait fait naître de ses chairs et de son sang. La manger pour survivre alors que nous étions enfermées par ces gens qui nous avaient abandonnées dans ce trou à rat m'a marqué à vie, mais pas nécessairement en bien. J'ai jugé cette perte d'humanité comme une renaissance, puisque je me suis transformée par la suite en ce que je suis aujourd'hui, mais aussi comme une mort honteuse. Pour m'accrocher à une nouvelle vie, j'ai dû sacrifier celle de ma propre mère.
Quel est votre plus grand regret ? Ne pas savoir ce qu'il se serait passé si je n'avais pas mangé ma mère. Et si les choses avaient été différentes, serais-je restée vraiment humaine après ces évènements ? Nous aurait-on retrouvées si je n'avais pas forcé l'entrée de la pièce sombre grâce à ma nouvelle force ? Aurais-je eu la force mentale de survivre après tout ça, en plus de ma santé fragile ? Parfois, je me repose toutes ces questions, et sans pour autant renier ma nature de monstre - que j'apprécie bien plus que ma nature humaine -, je m'imagine à nouveau humaine. Mais ça n'arrivera plus jamais ; j'ai perdu mon humanité, sans même savoir quand exactement.
▌Il nous est tous arrivé des événements marquants. De grandes peurs, d’immenses surprises ou des joies qui font ce que nous sommes à présent. Quant à vous, quel genre d’événement vous a vraiment marqué ? Il y a eu trois évènements dans ma vie, mais je pense que le fait d'habiter un nouveau pays ne m'a pas tant affectée que ça, alors je répondrai plutôt deux évènements. Par ordre de temps, celui qui semble plus plus logique, je pourrais d'abord parler de la naissance de mon frère Takeshi. Elle a, à mes yeux, détruit ma famille. Bien sûr, ce n'était pas l'avis de tout le monde qui eux se pensaient encore plus liés qu'avant ; moi j'étais juste mise à l'écart de ce troupeau d'amour lié et impénétrable. J'ai commencé à devenir autonome à cette période là, où par exemple plutôt que d'attendre que mes parents m'amènent au collège j'y allais seule, plutôt que mon repas soit prêt tard à cause de celui de Takeshi je me faisais le mien, et d'autres petites choses comme celles-ci, qui ont fait que très jeune je pouvais me débrouiller facilement. Mon caractère a aussi commencé à changer dans ces années là, je me suis enfermée dans ma bulle à moi en me séparant de la bulle collective ; peut être était-ce juste l'adolescence, ou un mélange de ces deux facteurs ? Quoi qu'il en soit, j'ai grandement changé en peu de temps, et mes parents s'en étonnaient sans comprendre le pourquoi du comment. Puis, après notre départ dans le Michigan à cause de la mutation de mon père, nous avons aménagé dans un appartement de classe moyenne à Détroit. Dans notre quartier, c'était plutôt calme et pas trop bruyant, parfois quelques jeunes et sdf qui chahutaient un peu mais rien de plus. Au Japon, mon père était officier de police, et on lui avait proposé une mutation. Il avait choisi les États-Unis, et plus particulièrement la bordure du Canada, pour le climat continental et l'accessibilité à diverses entreprises, mais aussi pour la sécurité de certaines villes qui laissent à désirer, comme à Détroit. Il a d'ailleurs été tué sur le terrain six mois après notre arrivée, lors d'une opération dans les quartiers difficiles. Ma mère fût dévastée et tomba en dépression, sa santé se dégrada et elle fût bientôt obligée d'abandonner son emploi de comptable dans une petite entreprise de machines de chantier. J'avais alors dix-neuf ans, et je travaillais en temps que serveuse pour aider l'argent à rentrer dans le foyer familial depuis la mort de mon père. J'ai dû par la suite mettre les bouchées doubles pour ma mère qui avait besoin d'une thérapie psychiatrique, coûteuse et seulement à moitié remboursée par les aides financières. Ce fût une dure période pour nous. Après plusieurs mois, alors qu'elle commençait à aller mieux et retournait peu à peu au travail, pendant que je reprenais mes études d'art laissées en plan pour le bien de notre famille, il y eu un choc. Un des hommes du gang ayant tué mon père nous réclama des comptes ; papa avait tué leur boss de l'époque, et le nouveau n'avait pas vraiment apprécié la nouvelle. Ça a commencé par des appels, des lettres, puis des gens devant notre immeuble à toute heure du jour et même de la nuit. Puis un jour, en rentrant, je n'ai pas trouvé maman chez nous. J'ai cherché, je l'ai appelée sur son portable - éteint -, retourné toute la maison, et finit par trouver un petit papier griffonné de quelques mots : « Je suis au supermarché, maman ». Alors que je soupirais de soulagement, je levais les yeux sur l'horloge du salon, et lisais neuf heures et demie. Puis plus rien, le noir complet et une grosse douleur à la tête. Je me suis réveillée dans une pièce sombre, dépouillée de presque tous mes vêtements, et attachée par des chaînes rouillées. J'ai pu apercevoir maman dans l'autre coin de la pièce, couverte de bleus et à peine éclairée par la petite ampoule accrochée au plafond qui sautait sans cesse. J'ai compris qu'il s'agissait de ces gens à qui papa s'était attaqués pour accomplir son devoir, et j'ai hurlé. Personne n'est venu. Il s'est passé beaucoup de temps avant que quelqu'un ne daigne descendre dans ce trou à rat, plus que des heures, sûrement des jours. Peut être une semaine, peut être moins, je ne pourrais pas le dire car non seulement mes poignets étaient retenus par les chaînes, mais je n'entendais pas le cliquetis de ma montre, indiquant son absence. Maman s'est réveillée quelques jours après sûrement, à peu près la moitié du temps avant qu'il y ai du mouvement ; j'espérais qu'ils ne l'avaient pas tuée, mais sa cage thoracique qui bougeait me confortait dans l'idée que non. Puis elle est morte sous l'assaut de ceux qui ont fini par descendre, la battant à mort à coups de tout et n'importe quoi, de battes de baseball, de crosse d'armes en tout genre, de barres de fer, sous mes yeux. Puis ils se sont attaqués à moi, et j'ai cru ne jamais me réveiller. J'étais moins amochée que ma mère, puisque je n'étais pas morte. Je ne pense pas m'être réveillée tout de suite, mais sans preuve temporelle du contraire, je ne pourrais pas juger. Au vu de la douleur dans ma jambe droite et dans mon épaule et poignet gauches, ils étaient fracturés. Je sentais du sang couler de ma tempe et une croute coagulée derrière mon crâne - probablement le coup que j'ai subi chez moi, qui m'a endormie et a permit de m'amener ici -, j'étais couverte de bleus à mon tour et le seul endroit où je n'avais pas encore mal était mon bas ventre, le reste ayant été touché à maintes reprises, à en juger par les égratignures et diverses plaies le couvrant. Puis ils revinrent après un temps que je jugeais de repos, et s'occupèrent de cette partie-ci, mais cette fois pas avec les mêmes armes. Ils me laissèrent pour morte vu mon état, sans eau ni nourriture. J'étais déshydratée depuis sûrement plusieurs jours déjà, et la faim en plus de la douleur me déchiraient le ventre. Je me retenais de pleurer pour garder un peu d'eau dans mon corps, mais je sentais la faim approcher. En utilisant mes dernières forces, j'ai réussi à me lever et à briser les chaînes grandement abîmées par les coups mal visés. J'ai dû alors boire mon urine, mélangée au sang affluant de partout, pour tenir encore. Au bout de plusieurs jours sûrement, j'ai été forcée de manger le corps de ma mère afin de remplir mon ventre qui n'était pas rempli par les liquides que j'absorbais, et menaçait de me laisser mourir. J'ai passé des heures devant son corps, le regard vide et morne, l'échine tremblante, avant de me décider à la sacrifier. Je devais me répéter «elle est morte de toute façon » avant chaque bouchée pour me convaincre encore une fois de me nourrir. Puis un déclic psychologique a fait que je suis devenu un monstre, en appréciant la chair de ma propre mère, puis je me suis transformée en wendigo, lentement. Je me suis ensuite enfuie de ma cage sous terre grâce à la force qu'on m'avait offerte, et je me suis enfuie dans la forêt.
▌Êtes vous né monstre ? Si oui, comment cela se passait-il chez vous ? Et en compagnie des humains ? Si non, qu’est-il arrivé ? Je ne suis pas née monstre, malheureusement ; de toute façon un wendigo ne peut pas naître wendigo. Je suis devenue un monstre en mangeant ma mère, durant notre enlèvement. Au début, je n'arrivais pas à me nourrir et je vomissais sans cesse, gaspillant mes ressources de nourriture si précieuses, puis j'ai fini par apprécier le goût de la viande humaine au point de ne plus pouvoir m'en passer. J'ai remarqué que plus je mangeais, plus mes plaies guérissaient vite et la douleur me quittait, à un rythme totalement surnaturel. Je n'étais plus en mesure de m'arrêter, je sentais ma conscience me quitter et j'ai eu des moments d'absence, où je voyais le corps de ma mère perdre de plus en plus de chair. Puis je ne me souviens de rien, ou de quelques instants par-ci par-là, où je me sentais enveloppée et où chaque cellule de mon corps mutait. Je me suis vue briser la porte de l'endroit où nous étions, puis plus rien. Tout était baigné d'une lumière qui m'empêchait de voir quoi que ce soit. De nouveau, des moments d’absence, du sang, beaucoup de sang, la forêt, les arbres, et je me suis réveillée. Nue dans la forêt, comme une déesse de la nature toute écorchée, sans se sentir si différente que ça que la Nera d'avant, mais plus la même pour autant J'étais devenue une wendigo.
Et vous êtes ? Pseudo KuroiSora, mais je suis plus conne sous le nom d'Opaline. ~
Age 15 ans, mais on approche des 16 et je vais pas me faire caca dessus devant les NC promis. ♥
Comment vous êtes vous retrouvé sur DM ? J'étais sur un forum, tranquillement, pis j'ai vu un message de partenariat et.. voilà quoi. J'ai vu monsters dans le nom du post et j'suis venue quoi !
Personnage sur l'avatar : Izayoi Sakuya - Touhou Project.
Un mot de la fin, une suggestion ? C'est boww chez vous, j'aime le contexte et aussi le caca. Je suis contente d'enfin pouvoir jouer ma petite Nera dont j'attendais un avatar au lieu de prendre mes dessins d'OC degueu, alors yeepee je suis conteeeeeeeeeeeente. ♥ Sinon, un mot de la fin.. bah.. bain d'huîtres. Voilà. |
| | | Miremél
▌Espèce : Dragon ▌Messages : 427 ▌Age : 28 ▌Double(s) Compte(s) : /
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Ven 9 Oct - 23:08 | Welcome ici, Nera ! Un Wendigo comme dans Until Dawn ? Haan c'est tellement classe comme monstre ! *^* Par contre je pense que tu aurais dû poster ta présentation dans la section "en cours" ^^' mais c'est un détail, En tout cas bon courage pour la suite et fin de ta fiche ~ |
| | | Invité
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Ven 9 Oct - 23:18 | Ohayoo ~ Ui eheh, les Wendigo c'est badass *^* Ah, oui.. c'est une bonne idée xD j'ai pas réfléchi, comme d'habitude. Je pense que les admins la bougeront si elle gêne, mais gomene ;; Mercii ♥ |
| | | Jacob K. Schröder
▌Espèce : Cavalier sans tête (âme damnée) ▲ immortel et ne craint ni les armes à feux, ni les armes blanches ▲ Peut décrocher sa tête de son corps ▲ tête vulnérable ▲ le feu ainsi toutes choses sacrées sont ses faiblesses. ▌Messages : 516 ▌Double(s) Compte(s) : Cesare Da Conti - John Willard - Saint Sebastien
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Sam 10 Oct - 11:41 | hello Nera 8D (ce nom pète la classe) Bienvenido à Detroit ! J'aime les wendigo d'un amour incommensurable (même si ça mort ) alors j'ai trèèèèèèèèèèèèèèès hâte de voir la fiche que tu vas nous pondre ! Sinon, sachant qu'elle est canadienne, n'oublie pas de nous expliquer son nom de famille japonais ( après tout, l'immigration vers le Canada vient d'un peu partout !) |
| | | Invité
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Sam 10 Oct - 11:48 | Nyuuh ~ Eheh merci c: en plus elle aime beaucoup manger des gentils gens, elle est méchante ;; mais justement.. j'aime ça èé C'était prévu messire, et expliquerait entre autres sa transformation ~ Bawuu ! |
| | | Elséar Nillan
▌Espèce : La Gargouille de Rouen
[+] Transformation en Gargouille
[+] Détection des créatures maléfiques
[-] Peut demeurer prisonnier de la pierre s'il est brisé sévèrement
[-] Ne peut pas se transformer s'il est entravé/enfermé
[-] Déstabilisé par un sifflement intense lorsqu'il est proche d'une créature maléfique. ▌Messages : 358 ▌Double(s) Compte(s) : Flynn Norwood
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Sam 10 Oct - 12:27 | Bienvenue, Nera et bonne chance aussi pour l'écriture de ta fiche !
Je suis bien contente de voir arriver un nouveau Wanna Fight! 8D ! Allons bouffer des humains ensemble ! |
| | | Invité
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Sam 10 Oct - 12:33 | |
| | | Valentin Pommier
Merci Alec pour ce magnifique dessin *-* ▌Espèce : Nixe — Transformation en ondin — Charme par la voix (non maîtrisé) — Sensible aux chocs thermiques — Déshydratation rapide — Régénération aquatique. ▌Messages : 619 ▌Double(s) Compte(s) : A venir :booty:
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Sam 10 Oct - 21:06 | Bienvenue Nera ! Ton personnage fait peur mais c'est cool 8D Et puis les wanna fight c'est le swag, gg. J'ai hâte d'avoir plus d'explications ! (Par contre je déplace ta fiche dans les fiches en cours ) |
| | | Invité
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Sam 10 Oct - 21:31 | Merci grand maître 8D je vais continuer la présentation cette nuit, mais je sens que si je fais des pavasses à chaque question on en a pour quelques jours encore ;; Gomene, je confirme ma non-réfléchissance :') |
| | | Miremél
▌Espèce : Dragon ▌Messages : 427 ▌Age : 28 ▌Double(s) Compte(s) : /
| | | | Ismaël Saenz
▌Espèce : ( ͡° ͜ʖ ͡°)
Banalité de l'humanité.
Médecin Légiste ( Ex-medecin de gang).
Junkie névrotique et désillusionné.
∆∆∆∆∆∆∆ ▌Messages : 144 ▌Age : 27 ▌Double(s) Compte(s) : Anastase [Staz]
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Dim 11 Oct - 13:35 | Heeew Bienvenido parmi nous. En fait j'ai rien d'original à dire à part que ton personnage Shine, voila. En plus bibliothécaire flippante à souhait tout de même, ça donne pas envie de venir y faire du bruit huhuhu. Anyway, j'ai hate d'en savoir plus à ton sujet. La bise |
| | | Invité
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Dim 11 Oct - 15:44 | Mercii ~
Je pense avoir fini, si y a des trucs à rajouter je peux nyeheh. ♥ |
| | | Jacob K. Schröder
▌Espèce : Cavalier sans tête (âme damnée) ▲ immortel et ne craint ni les armes à feux, ni les armes blanches ▲ Peut décrocher sa tête de son corps ▲ tête vulnérable ▲ le feu ainsi toutes choses sacrées sont ses faiblesses. ▌Messages : 516 ▌Double(s) Compte(s) : Cesare Da Conti - John Willard - Saint Sebastien
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Dim 11 Oct - 16:58 | Heeeyy 8D Alors, laisse moi tout d'abord te féliciter pour ton style qui est on ne peut plus impeccable. C'est très agréable à lire, je n'ai relevé aucune faute et c'est surtout très fluide, alors un grand bravo à toi.
En revanche, j'ai quelques petites choses à redire sur ton personnage (ne t'en fais pas, rien de grave !) histoire que ta fiche puisse être validée :
- Tout d'abord, le nom japonais de ton personnage. Bien que tu ais expliqué ses origines, je ne comprends pas forcément l’intérêt de son orientalisme. En effet, en ce qui concerne sa race en tant que créature, rien à voir avec le Japon (après, tu me diras, les monstres ne sont pas obligés de découler directement des origines d'un personnages, surtout quand ils ont été transformés, mais là, ça fait un sacré écart !), et ses racines Japonaise n'influe en rien sur son histoire ou son personnage. - Ce qui m'amène à mon second point : le Japon pose aussi de grands problèmes pour l'histoire de son père. A vrai dire, un policier de n'importe quel pays peu difficilement (pour ne pas dire que la chose est impossible) être muté dans un autre pays (et pire, un autre continent !). Les lois ne sont pas les mêmes, la législation non plus, il faut obtenir la double nationalité...bref, un enfer, d'autant plus qu'au Japon, les règles sont strictes et un certain racisme existe encore vis-à-vis des Américains. Donc, ce n'est pas possible que sont père ai été policier au Japon et soit parti travailler en Amérique d'un coup comme ça. - Le nom de sa bibliothèque pose aussi problème. Detroit n'étant pas franche une ville connu pour son accueille chaleureux et sa grande ouverture d'esprit, une bibliothèque au nom Japonais, ça risque de difficilement passer. - Bref, tout ces points nous amènent donc à ce dernier : il faut que tu modifies l'origine de la petite Nera, qui devra donc être américaine.
- Puis, vient le problème de son albinisme. En soit, cela ne me dérange pas, mais ce cas de dépigmentation rare entraine certain problèmes. Pour cela, je te conseille de te tourner vers la page wikipdia concernant l'albinisme ou d'autres sites pouvant te donner de plus amples informations. Tu pourras ainsi compléter ta fiche et la rendre plus réaliste.
Voilà, j'espère ne pas t'avoir trop effrayé, et je te souhaite bon courage pour la modification de ta fiche ♥
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| | | Jacob K. Schröder
▌Espèce : Cavalier sans tête (âme damnée) ▲ immortel et ne craint ni les armes à feux, ni les armes blanches ▲ Peut décrocher sa tête de son corps ▲ tête vulnérable ▲ le feu ainsi toutes choses sacrées sont ses faiblesses. ▌Messages : 516 ▌Double(s) Compte(s) : Cesare Da Conti - John Willard - Saint Sebastien
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Sam 17 Oct - 17:45 | Des nouvelles de ta fiche, muchacha 8D ? |
| | | Charlie MacKintosh
avatar : alec. ▌Espèce : Monstre du Loch Ness.
- Spoiler:
+ Transformation : sa véritable forme étant celle d’un dinosaure, il a réussi à maîtriser celle de l’humain non sans difficulté. Il a toujours eu du mal à doser la différence de taille, c’est pour cela qu’il est plus petit que la moyenne en général.
+ Longévité : certaines de ses faiblesses lui ont permis de survivre des millions d’années en une sorte d’hibernation. Il ne sait pas exactement si cela va continuer dans l’avenir mais il espère vivre quelques milliers d’années de plus.
- Métabolisme variable : stockage des graisses rapide (il prend facilement du poids et le garde), lipolyse lente (il perd difficilement du poids), métabolisme de l’éthanol lent (ses pics d’éthylismes sont plus longs que la normale).
- Digestion difficile : il prend souvent du bicarbonate de soude ou boit du jus de citron pour faciliter la digestion, à défaut de manger des cailloux comme il le ferait sous forme de dinosaure.
- Système immunitaire défectueux : les symptômes mettent deux à trois jours de plus que la normale à se déclarer et il met près de deux fois plus de temps qu’un humain à guérir. Hémostase lente : plus jeune on a cru qu’il souffrait d’hémophilie.
- Bradycardie : son rythme cardiaque usuel est généralement situé entre 40 et 50 pulsations minutes.
- Ichtyophagie : il se doit de manger du poisson au moins deux fois par semaine ou il développe un comportement digne d’un syndrome de sevrage. ▌Messages : 181 ▌Double(s) Compte(s) : Hermès, Saint Michael.
| Sujet: Re: Nera Y. Shimizu △ monster grow Ven 27 Nov - 18:04 | Pas de nouvelles depuis le 10 octobre.
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