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I'm gonna go out, I'm gonna let myself get absolutely soaking wet: it's raining men, Hallelujah! |
| Liron S. Cadence
▌Espèce : Dieu oublié d'un peuple effacé. Chaac, Chac, Chaahk. Appelez-moi Tlaloc, c'est plus simple.
{ eau • pluie • foudre • agriculture • vie éternelle }
Je n'ai plus la force de les utiliser comme avant. Peu de chance qu'une tornade ravage votre seule maison si vous me faites des misères. Dommage. ▌Messages : 33 ▌Double(s) Compte(s) : /
| Sujet: I'm gonna go out, I'm gonna let myself get absolutely soaking wet: it's raining men, Hallelujah! Sam 26 Déc - 22:32 |
CADENCE LIRON {TLALOC•CHAAC} je ne sais plus (la vingtaine, vu ma tête ?) - Américain sur les papiers - luthier/facteur/accordeur - dieu Chaahk chez les Mayas ou Tlaloc chez les Aztèques, c'est la même - Chillin'
Pouvoirs : EAU > divinité principale de l’eau chez les aztèques, évidemment, c’était sa force principale. Eau de mer, de source, de rivière, de marais, celle de ton verre, de ta bouteille, de la piscine, il lui faisait changer de température. Elle se transformait alors en vapeur plus vite pour alimenter un autre de ses pouvoirs : la pluie. Il peut aussi respirer, comme s’il avait des branchies.
PLUIE > des mois de sécheresse ou la forêt luxuriante ? Tout dépendait de son humeur, de la qualité des sacrifices, des supplications. Les pluies intenses qui ravageaient les cultures, les cyclones qui enlevaient les vies, tout n’était que caprice pour pouvoir regarder un nouveau spectacle, pour voir à quel point les humains croiraient en lui. De la simple averse à la dépression tropicale, il pouvait auparavant au mieux de sa forme raser des villages, et quand il était satisfait, plutôt s’attaquer aux ennemis, n’est-ce pas ? Sans sa volonté, aucune goutte d’eau n’irait arroser les terres, les nuages iraient s’essorer ailleurs.
FOUDRE > décrite comme une hache qu’il abattrait sur quelques malheureux qui n’avaient pas trouvé autre endroit où s’abriter qu’un arbre isolé, il était aussi dieu de la foudre et zébrait le ciel de sa lumière quand les orages assombrissaient le ciel.
AGRICULTURE > on le priait généralement pour les cultures qui redoutaient la sécheresse et les cyclones. Il est un dieu fertile, les plantes poussaient plus vite en sa présence, s’il daignait leur accorder un peu d’attention. Après tout, c’était bien ennuyeux.
IMMORTALITE > c’est l’apanage de tous les dieux, donc ce n’est pas surprenant. Son enveloppe terrestre peut mourir, mais son essence de dieu, immatérielle, s’échappera du corps et devra attendre environ un siècle avant de pouvoir revenir. Un siècle c’est long en temps humain. Mais quelqu’un pourrait le tuer s’il vise son essence et non son corps, mais ce serait plus compliqué en effet.
Faiblesses : PERTE DES POUVOIRS > hélas ! Il n’y a plus personne pour refaire les rituels qui donnaient tant de force à ses pouvoirs : un dieu sans peuple ne peut qu’errer dans les confins de la solitude et de l’ennui. Il n’est pas impotent, mais il a perdu presque toute sa puissance (après tout, on n’apprend pas son nom en cours d’histoire).
DETERIORATION > de toute façon, il ne vaut mieux pas pour lui utiliser ses pouvoirs trop souvent : son corps ne le supporterait tout bonnement pas. Une averse, son cœur bat la chamade ; un orage, il tousse ; un cyclone, il finit à l’hôpital. Il ne peut que faire des actions légères presque invisibles comme vous envoyer une petite décharge électrique si vous vous serrez la main ou augmenter l’humidité de l’air s’il ne veut aucune incidence sur son corps. Rien de bien folichon.
PERTE DE CONTRÔLE > événement rare mais présent, il pourrait tout simplement perdre le contrôle de ses pouvoirs, ravager Détroit, foudroyer des personnes, seulement parce qu’il aurait dépassé ses limites. Dangereuses pour son corps, son âme, et son moral, c’est l’une des raisons pour lesquelles il n’utilise plus son pouvoir pour aider les hommes (ou pour embêter vraiment méchamment quelqu’un).
PROBLEMES ENVIRONNEMENTAUX > si auparavant il créait ses propres nuages, maintenant, trop faible pour le faire, il est obligé d’en attirer qui existent déjà, c’est-à-dire priver une région de ce dont elle a besoin, ce qui peut entrainer des problèmes climatiques… ce qu’il n’apprécie pas non plus. Donc c’est un frein psychologique qui s’ajoute.
Miroir de l'âme ▌Description du caractère : Beaucoup sur Terre m’ont trouvé indifférent. Je ne sais pas si je dois y croire. Ce n’est pas de l’indifférence, je pense. Plutôt de la lassitude. L’humain ne change pas tellement en réalité d’une époque à l’autre. Si les détails différent, les chemins proposés varient trop peu pour se dire « oh, regarde, c’est étonnant ». Les nouvelles créations, les découvertes nouvelles et les réactions quant à celles-ci ne sont pas originales. Mais ce n’est pas que l’humain est ennuyeux, loin de là. Il est intéressant, amusant, intriguant. C’est juste que l’habitude rend les choses moins passionnantes qu’au début.
Sûrement qu’ils me trouvent indifférent parce que je m’ennuie. Je m’ennuie beaucoup, vous savez. Je passe des heures à me demander ce que je pourrais faire, et je remarque que la journée touche déjà à sa fin (c’est un plaisir d’être atemporel ; nous pourrions réfléchir au lendemain tous les jours sans se soucier de perdre notre temps, car nous n’avons aucun temps, nous sommes éternels). J’ai du mal à trouver de quoi remplir mes journées. Passés trois ans dans un corps humain que je ne savais déjà plus m’occuper, alors maintenant… combien de siècles s’étaient écoulés depuis ces trois belles années ? Quatre ? Je ne savais plus. Je ne sais ce qu’est la mort, ni la vieillesse. Même si on me percutait avec une voiture, je retournerais juste à l’état immatériel de dieu et devrais attendre. Même si c’est long, ce n’est pas mourir. Je ne vois pas pourquoi on me tuerait en tant que dieu non plus : personne ne me connait plus.
Les gens ne comprennent pas, ou bien j’ai un don pour le cacher, mais comme je m’ennuie, je suis curieux. Je suis déçu par ce que je trouve, donc ça n’a pas l’air de m’affecter, mais je suis curieux. Vos secrets, vos pensées, ce livre inintéressant entre vos mains. Je suis curieux. Et j’essaie de répondre à une seule question, quand je vous vois agir : pourquoi ?
Avant, on me disait que j’étais capricieux. Je n’ai plus personne à qui faire de caprices, maintenant mais j’imagine que ça doit toujours aussi être agréable. J’aime avoir ce que je désire. J’avoue éprouver un certain plaisir à voir les gens rencontrer des difficultés quand ils m’aident. Les pauvres humains que je tourmentais auparavant étaient drôles à observer, oui. C’est pourquoi j’essayais de nouvelles combinaisons de malheurs pour voir leur réaction. Face aux désastres, cependant, je finissais toujours par avoir pitié.
Oui, je ne suis pas vraiment « gentil » avec les autres, oui, j’aime les voir souffrir, mais légèrement seulement. Je ne rirais pas de quelqu’un d’amputé ou un malade qui va bientôt crever. Plutôt de celui qui cherche le remède à ses malheurs, et plus ce remède me semblera accessible, plus la détresse de cette personne me paraitra mal placée. Et ça me fera rire que de la voir se débattre alors que la solution est aussi proche.
J’aime bien jouer. J’aime les dames, les échecs, ce qui demande un peu de réflexion. J’adore les puzzles, aussi. Ce qui fait passer le temps, en quelques sortes. Je ne suis pas un génie, je n’ai pas un QI extraordinaire, sûrement, et tant mieux. Déjà, quelle idée de mesurer l’intelligence d’un être qui ne répond pas aux standards humains, et puis, à quoi ça sert de jouer s’il n’y a aucun challenge, aucune envie de gagner, quand la victoire est déjà assurée ?
J’aime autant jouer que je déteste perdre. L’échec est juste une chose inacceptable. Je ne peux pas abandonner après un affront pareil, c’est pour ça qu’il faut toujours choisir ses adversaires avec soin. Observer son style, ses façons de faire, les personnes contre qui il préfère être lui aussi, créer un tableau de statistiques. Jouer à deux, pour moi, c’est compliqué. J’aime jouer contre moi-même pour me perfectionner, vous voyez ?
OK, je ne suis pas très sociable, aussi. Que voulez-vous, en même temps ? On pourrait découvrir des choses sur moi, si j’ouvrais ma porte à tout le monde. Je ne suis pas une bête de foire qu’on doit pointer du doigt. Je n’aime plus attirer l’attention. J’avais les étincelles de la foudre comme projecteur, le tonnerre comme parole. Je résonnais jusque dans le sol, dans les corps, ma pluie piquait les peaux comme mille aiguilles pour dire que j’existais. J’ai trop donné de cette époque. La vantardise ne sied qu’aux jeunes, apparemment. Trois siècles suffisent. Je ne cherche pas à époustoufler les autres, je veux que les autres m’époustouflent.
Je n’aime pas trop parler. J’espère toujours secrètement que quelqu’un me comprendra sans que je n’aie à utiliser de mots. Ce serait agréable. Ouais, j’ai trop d’attentes des autres, le temps n’arrive pas à m’apprendre à arrêter d’espérer. Je suis un faux pessimiste : j’ai beau me plaindre et dire que rien ne s’arrangera, je prie de tout mon cœur pour que ça arrive.
Je suis… pitoyable ?
▌Aimez vous votre condition de monstre ? J’imagine que non. A vrai dire, j’ai si peu de pouvoirs que c’en est ridicule. J’ai juste la chance de ne pas prendre une ride ou de mourir à cause d’un simple couteau tant qu’on ne vise que ce corps. Sinon, c’est quoi être un dieu pour moi à présent ? Juste des morceaux d’un passé que je ne pourrais jamais atteindre à cause d’événements sur lesquels je n’ai plus d’emprise. Je suis assez semblable aux hommes en réalité. Juste que le temps n’arrêtera pas de filer pour moi, mais ce que j’ai perdu, je ne pourrais jamais l’avoir à nouveau, je ne peux pas créer de miracles. J’aurais préféré ne jamais connaitre la gloire de la puissance si c’est pour finalement finir impotent.
Je suis comme aveugle, muet, sourd, et je tâtonne dans ce monde alors qu’auparavant je me pavanais, je courrais. Maintenant, à chaque pas, je trébuche. Qu’est-ce que c’est désagréable, hein.
▌Que pensez-vous des humains ? Ma vision d’eux n’a pas changé. Ils sont les seuls à pouvoir m’offrir un peu d’amusement. Ils ont créé ce que je possède maintenant, et ils m’ont offert mes pouvoirs, comme ils les ont repris. Je devrais être reconnaissant, n’est-ce pas ? Je n’arrive pas à croire que je puisse écrire ces mots, moi qui aurais pu les balayer juste parce que j’en avais envie. Les temps changent, hein. Malgré tout, je m’en méfie. Je ne veux pas qu’ils découvrent ma nature, même si ça m’étonnerait que mes pouvoirs de pacotilles puisse être vus par quiconque. On me prendrait plus pour un immortel quelconque, j’imagine. C’est pitoyable.
▌Êtes-vous bien intégré à la société ? Si oui, avez-vous un métier ? Et si vous êtes étudiant, qu'étudiez-vous ? Si vous ne faites rien de cela, que faites-vous ? J’imagine que mon intégration est… mitigée. Je ne me mélange pas tant que ça aux autres, j’observe plutôt les autres de loin. Il est rare que je me lie d’amitié avec eux. Je préfère éviter. Je n’aime pas être triste. La vie humaine est trop courte, la mienne trop infinie pour que je m’amuse à copiner avec eux. Ils vieilliraient, tandis que moi non. Je serais obligé de partir. Me construire une nouvelle vie, ailleurs. Fuir, pour ne pas avoir de problèmes. Et me faire de nouveaux faux papiers.
Mais j’ai un boulot, depuis trois siècles le même : luthier/facteur et accordeur de piano. Je suis spécialisé dans tellement d’instruments, après toutes ces années… harpe, violon, piano, guitare, violoncelle, alto, ocarina, plusieurs flûtes ; le temps m’avait permis de me perfectionner pour atteindre le summum de mon art. Ouais. J’ai un boulot.
Souhaitez-vous dévoiler votre véritable nature au reste du monde ? Non. Je préfère qu’on me laisse tranquille. Et puis, personne ne me croirait.
Quelles sont vos activités favorites ? Avez vous une passion ? Evidemment, ma passion est la musique. J’ai écouté Chopin jouer, et Mozart, et Bach, et Beethoven ; elle ne peut me lasser. Et mon travail, aussi. La musique est sûrement la chose que les hommes ont le mieux réussi. Je ne peux me passer du son d’un instrument. Juste sentir sous mes doigts les touches d’un piano, pincer les cordes d’une harpe, soulever un archet et le frotter contre les cordes d’un violon ou violoncelle… tout ça, peut rendre un jour meilleur.
Sinon, comme je l’ai dit, les puzzles, les échecs ou les dames peuvent m’occuper. Certains romans peuvent me plaire, comme certains jeux-vidéos, mais je ne suis pas un rat de bibliothèque, ni un gamer.
Décrivez l'endroit où vous passez le plus de temps (une pièce chez vous, au travail, un endroit à l'extérieur, etc). Je passe le plus clair de mon temps dans mon atelier. Mon appartement est juste à l’étage, donc je le traverse forcément. De grandes fenêtres à petits carreaux recouverts de rideaux translucides, une porte d’entrée en vieux bois massif. La pièce est séparée en deux par un mur, mais une arche en bois laisse toujours voir ce qu’il se passe de l’autre côté. D’un côté c’est la « boutique » : plusieurs instruments faits à la main y sont exposés, tandis que de l’autre côté c’est là où tout se joue : tous les instruments y sont faits, avec le plus de minutie possible. Une grande table, du bois, mes outils, des cordes… Il y a beaucoup de lampes dans la pièce, pour n’oublier aucun millimètre de l’instrument. Je n’ai pas la place pour faire des pianos, mais j’en restore de temps en temps, et je répare beaucoup d’instruments par-là aussi.
Il y a une chaine Hi-Fi pour que j’écoute de la musique en travaillant, contre un des murs, des photos d’instruments, des patrons, divers esquisses que j’ai réalisées, des dizaines de post-it sont accrochés un peu partout. Une guirlande blanche fait le tour de l’arche, du côté de l’atelier. Ça me détend d’y jeter un coup d’œil de temps en temps. L’acoustique de la salle est très bonne, pour permettre aux visiteurs d’essayer les instruments. C’est surtout pour ça qu’ils viennent d’ailleurs. Je les laisse faire sans m’énerver, je sais qu’ils ne casseront pas les instruments, et c’est toujours agréable à écouter, quand ils sont doués.
L’escalier qui mène à mon appartement est caché par un mur, mais celui menant à la cave est visible. L’atmosphère y est hautement contrôlée pour éviter que les instruments qui y sont entreposés soient endommagés. J’y entrepose surtout les instruments à cordes imposants et les étuis que je confectionne.
Quel est le bien auquel vous tenez le plus ? Pourquoi lui accordez-vous tant de valeur ? Le bien auquel je tiens le plus …? Il y en a deux. Un collier aztèque et un autre, maya que j’ai achetés il y a au moins deux cents ans. Il me rappelle ces deux civilisations que j’avais entre les mains, avec les autres dieux. Je suis toujours un peu… attaché à mon passé ?
Qu'est-ce qui vous met le plus en colère ? … eh bien… les hommes qui battent leur femme. Je ne le supporte juste pas. Et les gens qui dépassent dans les files d'attente. Pourquoi font-ils ça ?
Quelle est votre plus grande peur ? C’est stupide mais… j’ai peur de revoir certaines personnes.
Que faites-vous pour pallier au stress ? Des puzzles en écoutant la musique. Ou bien je surfe sur internet pour regarder des photos d’instruments qui m’intéressent.
Quelle est la routine d'un jour normal pour vous ? Comment vous sentez-vous si cette routine est rompue ? Je me lève, je mets de la musique (j’ai des enceintes dans toutes les pièces qui diffusent la même chose) puis je prends un chocolat chaud comme je n’aime pas le café, ou un thé les jours où je me sens d’humeur moins sucrée, souvent avec des tartines ou des viennoiseries, parfois un plat salé avec un jus de fruit en plus. Je prends une douche, je me rase, je me brosse les dents. Je choisis mes vêtements sans vraiment y faire attention. Je descends à la boutique, je monte le rideau métallique puis j’ouvre ceux en tissu. Je vais à l’atelier travailler en attendant des clients. Quand il y en a, j’enfile mon masque chirurgical pour éviter qu’on voie trop mon visage (les gens pensent que j’ai des allergies, du moins c’est mon excuse) pour montrer mes instruments et leur accorder le droit de les essayer. Puis j’attends midi pour fermer et aller manger quelque chose de léger. Et j’ouvre à nouveau (ma vie est si palpitante). Parfois je vais faire les courses, donc je prends mon vélo et j’y vais à mon rythme. Quand je rentre chez moi, je m’arrête parfois au resto’ chinois pour prendre un petit truc à manger. Je rentre, je ferme tout, puis je monte et je remplis mon temps en jouant de la musique. Et je prends une dernière douche, et je vais me coucher.
Je suis assez heureux quand quelque chose d’imprévu se passe. Je m’ennuie un peu moins.
Vous aimez-vous ? (question d'amour propre) … Je… ne sais pas ce que je pense de moi.
Listez trois choses dans lesquelles vous vous considérez bon, et trois choses dans lesquelles vous ne l’êtes pas. Je suis bon en musique (j’y combine la fabrication des instruments et l’interprétation), pour les jeux de réflexion, pour retenir des choses.
Je suis mauvais en cuisine (à part les salades, les trucs à réchauffer tout prêts, et les pâtes/riz, je sais pas faire grand-chose), pour les relations sociales, composer des morceaux.
Quelque chose à rajouter ?
▌Physionomie : Je suis dans la moyenne, j’imagine. Environ un mètre soixante-quinze, je ne connais pas mon poids. Je ne suis pas très musclé, plutôt sec. Mes cheveux blonds me tombent devant les yeux et me chatouillent la nuque. J’attends toujours trop pour les couper. Ouais, blond. Les aztèques pensaient que les dieux étaient blonds, avec des yeux très clairs. Les miens sont verts, d’autres les avaient jaunes.
Auparavant, on me faisait comprendre que je n’étais pas le plus laid, maintenant, plus personne ne me fait de compliments comme je porte tout le temps ce masque chirurgical. C’est plus pratique pour ne pas qu’on remarque que je ne vieillis pas. Et puis ça évite qu’on ne m’approche que parce que je ne suis pas un mauvais morceau, j’imagine.
Mes vêtements, c’est pas les trucs les plus intéressants qui existent non plus. Des jeans bruts, certains sérieusement usés aux genoux, des t-shirts unis en général, mais j’en avais quelques-uns à imprimés achetés sur Redbubble ou Etsy. J’ai une collection considérable d’écharpes, quelques bonnets et quelques paires de gants. J’aime les hoodies, je me sens bien dedans. J’ai quelques chemises, mais je ne les mets que pour bosser. Dès que je suis tranquille, j’enfile un débardeur. C’est ouvert. C’est confortable. Et je ne porte que des vêtements en coton ou en laine. Pas de matières synthétiques.
Quand je sors, souvent, je mets une paire de lunettes de soleil, pour pas non plus qu’on remarque mon état de vieillissement. Pas dans la boutique, par contre. Ce serait de mauvais goût.
Je suis du style à me tenir très droit devant les gens, mais seul ou en présence des rares personnes qui savent plus de moi que mon nom et mon faux âge, je suis avachi. On ne me croise jamais sans écouteurs autour du cou. Parfois, j'ai mes besoins musicaux à entretenir.
Autre apparence :
Histoire ▌Quand et où êtes-vous né (précisez quelle époque si elle n’est pas ‘actuelle’) ? Je suis né à l’époque des premiers peuples sédentaires des Amériques. J’ai germé jusqu’à la civilisation Maya (environ 250 après JC), et j’étais pleinement puissant à ce moment. Je m’appelais Chaahk. Avec le déclin de ce peuple, j’ai hiberné pour ensuite revenir surveiller l’empire aztèque sous le nom de Tlaloc. J’avoue avoir une préférence pour ce peuple, mais ça reste entre nous.
▌Quelle est la situation sociale de la famille dans laquelle vous avez grandi ? A-t-elle changé pour vous ? Je ne suis le fils de personne à part peut-être de l’espoir humain. Il avait tant besoin d’expliquer ce monde qu’il nous a créés, les dieux fondateurs et nous a offert nos pouvoirs. Aujourd'hui, j'ai perdu contact avec tous les autres dieux de ma génération. Mais bref, j'étais déjà important à l'époque, et aujourd'hui j'ai l'argent pour m'y faire croire.
Comment vous entend(i)ez-vous avez vos parents ? Avez-vous des frères et sœurs ? J’ai une grande sœur, Huixtocihuatl. Déesse de la fertilité, du sel et des eaux salées. Je ne sais pas ce qu’elle est devenue à la chute de l’empire aztèque. Et je ne veux pas le savoir.
Si vous êtes allé à l’école, comment votre scolarité s'est-elle déroulée et quel genre d’élève étiez-vous ? Comment vous entendiez-vous avec vos camarades ? Sinon, quel genre d’éducation avez-vous reçu ? Ma mission, je la sentais couler en moi. Toutes ces prières ne demandaient qu'à être réalisées. Ce n'est pas de l'éducation : nous sommes déterminés à utiliser nos pouvoirs. Mais on peut choisir d'être un dieu clément ou non. Et je ne l'étais pas souvent.
Plus jeune (enfant, adolescent), quelles étaient vos activités favorites ? Si vous avez une passion, quand l’avez-vous découverte et comment ? Jeune dieu, j’aimais créer des tornades au-dessus de la mer. J’attendais que les humains prient pour qu’elle disparaisse, et je le faisais. Le culte qui m’était rendu était plus grand encore. C’était drôle. Sinon, je les regardais survivre après une saison infertile à cause du manque de pluie. Sans raison particulière, évidemment.
Quels ont été vos premiers amours ? Y a-t-il eu des litiges avec vos tuteurs ou avec d'autres personnes à ce propos ? Et en ce moment, où en êtes-vous ? Je me suis marié pour la première fois avec une très belle déesse qui s’appelait Xochiquetzal. Malheureusement… ahem… Tezcatlipoca la kidnappa et la força à se marier avec lui. Je n’ai pas pu la protéger, et je n’en avais pas vraiment envie. Tezcatlipoca aurait pu me tuer, c’était le dieu le plus craint et pour qui on faisait des bains de sang.
Maintenant, on va dire que ma vie amoureuse est au point mort, mais ce n'est pas comme si ça me dérangeait, donc ce n'est pas bien grave. Il ne faut pas oublier que je me suis marié d'autres fois après ce premier échec, mais ça n'étaient plus des premiers amours, n'est-ce pas ?
Où logez/vivez-vous en ce moment ? Pourquoi avoir choisi cet endroit ? J’habite dans un quartier moyen de Détroit, un endroit où le loyer est relativement abordable pour un grand espace. En effet, il me fallait une grande boutique, une cave mais aussi un appartement spacieux pour entreposer mes instruments personnels. C’était le seul à un prix abordable (même si je n’avais pas franchement de problèmes d’argents) et assez grand. Il a fallu le retaper, mais la structure de base était bonne, alors quelques coups de peintures et des petites choses faciles à rafistoler. Ça ressemble juste à un appart’ moderne, maintenant. C’est du bon boulot de fait.
Aviez-vous, ou avez-vous encore une personne que vous considérez comme un modèle à suivre ? J’aimais beaucoup Quetzalcoatl auparavant. Nous étions assez proches, et on discutait souvent de cette vie sans fin. Je n’arrive toujours pas à croire que Tezcatlipoca l’a poussé à s’en vouloir au point de partir. Mais il reste le créateur des hommes, un dieu plus pur que les autres, et quelqu’un qui sera toujours pour moi un exemple.
Avez-vous un but que vous souhaitez atteindre à tout prix ? Si oui, où en êtes-vous ? J’aimerais bien pouvoir me sentir apaisé à nouveau, ne plus ressentir ce besoin de fuir à chaque fois que je m’aventure quelque part. Cette peur d’être découvert… m’empêche de vivre, je le sais bien. Mais ces dernières années, avec les chasses aux monstres plus fréquentes, je n’arrive pas à me persuader à aller de l’avant et me sociabiliser. Serais-je destiné à regarder les gens de loin ? Haha. Ha. Ha…
Qu'est-ce que vous considérez comme votre plus grand accomplissement ? Il date ! J’imagine que c’est le premier violon que j’ai créé avec Antonio Stradivari, j’ai été son élève pendant quelques temps. Il a essayé l’instrument, et m’a dit « j’aurais été honoré d’inscrire mon nom sur un si bel instrument ». Jamais compliment n’a été aussi agréable. C’est aussi le moment où il m’a dit qu’il fallait que je montre mon art au monde.
Quelle est la chose la plus embarrassante qui vous soit arrivée ? J’étais ivre, ce jour-là. Je sais que d’habitude, je suis en mode « il ne faut pas approcher les autres, blablabla », mais ce soir-là, je n’avais qu’une envie : me sentir mieux. Il y a des jours bien pires que les autres où le remord a décidé de me sucer les os jusqu’à la moelle. Alors j’étais sorti.
J’ai enchainé les verres. Ça faisait longtemps que je n’avais pas bu. Et puis y avait cette fille. Je crois qu’elle était d’une beauté moyenne, typique. Rien à signaler. Elle a commencé à taper la discute. Elle était jeune ; je savais qu’elle avait réussi à rentrer en douce. Et elle m’avait poussé à accepter son invitation à sortir du bar. On s’était assis sur le trottoir et on avait regardé les étoiles sans dire un mot. Puis elle avait posé sa main sur la mienne.
« Je suis vierge. »
L’alcool ça vous empêche de penser droit, je vous assure.
« Je connais pas mon signe astrologique. »
Elle s’est cassée.
Quel est votre plus grand regret ? Avoir laissé les colons massacrer les Aztèques en les laissant emprunter la mer. A cause d'eux, moi aussi j'ai tout perdu.
▌Il nous est tous arrivé des événements marquants. De grandes peurs, d’immenses surprises ou des joies qui font ce que nous sommes à présent. Quant à vous, quel genre d’événement vous a vraiment marqué ? Ce jour-là, j’ai observé Cortès tuer un peuple. Le mien. J’avais déjà assisté à la chute de la civilisation maya, je n’avais pas envie de voir la fin de l’empire aztèque. Je ne m’y attendais pas. Les offrandes de l’empereur étaient à couper le souffle. Ces idiots ont pensé que c’était Quetzalcóatl qui revenait enfin. Après tout, ils ont toujours imaginé les dieux blonds, blancs, avec des yeux clairs, hein ? Moi, j’avais espéré aussi que ce soit lui sous forme humaine. J’avais tant voulu qu’il revienne… j’ai donc laissé ces hommes rentrer sur notre territoire sacré. Ils avaient des chasseurs de dieux. Je faisais partie de ceux qui risquaient d’y passer (comme tous les dieux influents).
Je me suis enfui. J’aurais pu me comporter comme un guerrier, attaquer ces mécréants. J’aurais pu protéger mes femmes et mes enfants. J’aurais pu protéger mon peuple, certes trop tard, mais ils ne seraient peut-être pas tous morts. Les autres dieux principaux s’en étaient allées aussi, alors je suivis leur chemin. J’avais pris forme humaine, j’avais tué plusieurs hommes étrangers pour leur voler leur argent, et j’étais parti. Comme un lâche.
J’ai senti mes pouvoirs faiblir de jours en jours. Des exécutions massives, le travail forcé, les maladies. Ils priaient encore. Et le soir j’entendais le fantôme de leurs voix dans ma tête, alors que je m’allongeais dans ces jolis draps de riche. J’avais tellement volé, tellement tué pour l’argent. Juste pour vivre confortablement. Je n’avais plus rien à protéger à part moi-même, je me disais. Quelle grandeur d’âme que de ne penser qu’à soi. Les voix se sont tues, petit à petit. On les convertissait de force. Et de toute façon, ils devaient en vouloir, à ces dieux hypocrites qui n’avaient pas levé un petit doigt pour leur salut.
J’avais peur de traverser une rue et reconnaitre le visage de Matlalcueitl ou Chalchiuhtlicue que j’avais abandonnées sans un mot. Elles seraient sûrement accompagnées de mes enfants… que diraient-ils en me voyant ? A quel point riraient-ils de moi ? Ah, rire, c’était bien doux, comme vengeance. Ils me cracheraient dessus. Elles me tueraient sans hésiter. Non, elles ne pourraient pas. Même à deux, elles étaient toujours plus faibles que moi. Mais il valait mieux prendre des précautions.
J’ai commencé à beaucoup voyager. J’ai appris de nombreuses langues au passage. Et surtout, j’ai appris tout ce qu’il fallait savoir sur la musique. J’en étais tombé amoureux. Aucune femme n’était plus puissante qu’écouter Debussy. J’ai compris que c’était la seule voie pour moi. J’allais arrêter de tuer et voler. J’allais créer le frisson.
Je me suis remarié à une jeune femme de bonne famille. Ses parents me voyaient comme un bourgeois de bas étage, mais ils avaient besoin d’argent. Les nobles endettés se prennent toujours pour les meilleurs, même quand ils n’ont rien. Je ne comprendrai jamais pourquoi.
Cette femme avait une voix divine. Jamais je n’en avais entendue de pareille. Je l’avais charmé au violon, elle m’avait charmé en chantant. Malheureusement, l’âge ne vint pas maquiller mes traits. Je la voyais se rabougrir, et le rosier devenait ronces. Elle avait remarqué que le temps n’avait aucun impact sur mon visage. J’étais toujours le même. Elle me murmurait, horrifiée par cette phrase, que j’étais « beau ». Elle m’accusa un soir d’avoir pactisé avec le démon. Je savais qu’elle ne me croirait pas si je lui expliquais tout. Je ne sais pas si elle comptait le dire à qui que ce soit. J’ai préféré anéantir la possibilité même.
Je me suis rendu compte ce jour-là que j’étais un être dangereux pour l’homme et qu’il valait sûrement mieux qu’on reste éloigné l’un de l’autre. J’étais trop égoïste pour vouloir me mettre en danger, et j’étais trop égoïste pour rester un dieu immatériel qui s’ennuierait pour toujours. Alors je me suis dédié à mon art. J’ai arrêté de fréquenter les autres hommes, j’ai froidement rejeté les compliments de femmes volages, et puis un beau jour j’avais quitté l’Europe pour m’enfuir aux Etats-Unis. Et pendant les vacances, parfois, je partais au Mexique retourner la fange de mes souvenirs. On ne peut pas retourner dans le passé.
▌Êtes vous né monstre ? Si oui, comment cela se passait-il chez vous ? Et en compagnie des humains ? Si non, qu’est-il arrivé ? J’ai toujours été un dieu, du moins c’est ce que ma mémoire me dit. Je passais mon temps avec ma famille, à choisir si oui ou non j’arroserais les champs de maïs cette année-ci. C’était vraiment le bon temps. J’étais assez odieux avec les humains quand j’en avais envie. D’autres fois, j’étais agréable. A cette époque, je pouvais quitter une enveloppe humaine et m’y replonger sans souci. Je leur rendais parfois visite, et comme s’ils savaient qui j’étais, avec ces cheveux et cette peau atypiques, ils me considéraient comme sacré, comme tous les autres dieux en visite.
Ils n’avaient jamais osé me demander lequel de leur bienfaiteur j’étais. Peut-être aurais-je eu des ennuis si je leur avais dit. Ils auraient peut-être voulu des explications, et égocentrique comme j’étais, je serais parti sans un mot. Ils auraient sûrement essayé de se racheter, et j’aurais dû faire quelque chose pour leur prouver que je ne leur en voulais pas trop. C’était cette ambiance un peu joviale, qui flottait à mes côtés. Il y avait des dieux dangereux que je n’approchais pas pour ne pas plomber cette ambiance. J’imagine que j’étais de ces dieux bons vivants ?
Quand j’ai quitté l’empire pour l’Europe, ma position face aux hommes a changé. Pour eux, j’étais juste agréable à regarder. Il n’y avait personne pour passer mes caprices. J’ai dû agir comme eux, et même les respecter. Si ce fut compliqué au départ, me sociabiliser devint un jeu d’enfant.
Jusqu’à ce que je préfère rester dans mon coin.
Et vous êtes ? Pseudo J'en ai pas alors... Macaroni ?
Age dix-sept ans.
Comment vous êtes vous retrouvé sur DM ? Quelqu'un m'a envoyé le lien.
Personnage sur l'avatar : United Kingdom d'Hetalia.
Un mot de la fin, une suggestion ? Joyeuses fêtes en retard ? |
| | | Miremél
▌Espèce : Dragon ▌Messages : 427 ▌Age : 28 ▌Double(s) Compte(s) : /
| Sujet: Re: I'm gonna go out, I'm gonna let myself get absolutely soaking wet: it's raining men, Hallelujah! Sam 26 Déc - 22:48 | Welcome ici, Liron J'adore ta façon d'écrire et cette légende Maya/Aztèque, je ne peux qu'approuver, anciennement j'avais pris Quetzalcóatl, donc on va bien s'entendre |
| | | Liron S. Cadence
▌Espèce : Dieu oublié d'un peuple effacé. Chaac, Chac, Chaahk. Appelez-moi Tlaloc, c'est plus simple.
{ eau • pluie • foudre • agriculture • vie éternelle }
Je n'ai plus la force de les utiliser comme avant. Peu de chance qu'une tornade ravage votre seule maison si vous me faites des misères. Dommage. ▌Messages : 33 ▌Double(s) Compte(s) : /
| Sujet: Re: I'm gonna go out, I'm gonna let myself get absolutely soaking wet: it's raining men, Hallelujah! Dim 27 Déc - 0:14 | Awww merci ! ;v; Pourtant j'avais l'impression d'écrire n'importe comment. Ahem. J'arrive pas à m'appliquer pour les fiches. >>
Ca me fait plaisir en tous cas. ;v; Et surtout : QUETZALCÓATL ! Mon personnage l'aimait trop trop trop trop. Dommage que tu le fasses plus, ils auraient pu être potos. ;v; |
| | | Miremél
▌Espèce : Dragon ▌Messages : 427 ▌Age : 28 ▌Double(s) Compte(s) : /
| Sujet: Re: I'm gonna go out, I'm gonna let myself get absolutely soaking wet: it's raining men, Hallelujah! Dim 27 Déc - 0:49 | Mais je suis un dragon, ça s'en rapproche un peu non ? ;) |
| | | Elséar Nillan
▌Espèce : La Gargouille de Rouen
[+] Transformation en Gargouille
[+] Détection des créatures maléfiques
[-] Peut demeurer prisonnier de la pierre s'il est brisé sévèrement
[-] Ne peut pas se transformer s'il est entravé/enfermé
[-] Déstabilisé par un sifflement intense lorsqu'il est proche d'une créature maléfique. ▌Messages : 358 ▌Double(s) Compte(s) : Flynn Norwood
| Sujet: Re: I'm gonna go out, I'm gonna let myself get absolutely soaking wet: it's raining men, Hallelujah! Dim 27 Déc - 23:53 | Bonjour, Liron et bienvenue à toi ! Que voilà une fiche très sympathique ! J'ai vraiment passé un très bon moment et tu as un style très agréable à lire ! J'ai apprécié la façon que tu as de faire ressortir la personnalité de ton personnage au travers de ses récits et je dois bien avouer que j'ai bien hâte de le voir à l'oeuvre en RP. Son rapport avec la musique, son passé en tant que dieu : bref, je suis sous le charme ! Oh et dernier détail : - Citation :
- « Je suis vierge. »
L’alcool ça vous empêche de penser droit, je vous assure.
« Je connais pas mon signe astrologique. »
Elle s’est cassée. Nous sommes deux staffs à avoir lu et nous avons beaucoup ri, je peux te l'assurer : c'était brillant XD ! Je te valide sans plus attendre ! Bon jeu parmi nous ♥ ! Après la validationC'est maintenant que la partie commence vraiment ! Mais pas de panique, voici quelques liens pour te rappeler où tu dois aller pour bien commencer. Les liens en gras sont obligatoires ! - Le recensement des avatars : tu trouveras un formulaire à poster pour que l'on ajoute ton avatar à la liste. Comme ça, personne d'autre ne le prendra. - Recensement des légendes (pour les monstres) : pour que tout le monde s'y retrouve et qu'on puisse voir qui est quoi ! - Recensement des capacités spéciales (pour les monstres) : pour que les autres puissent savoir quelles capacités sont utilisées. - Recensement de ton occupation / métier : Ça, c'est pour tout le monde ! Sauf si tu n'en as pas, évidemment. - Après avoir jeté un oeil au récapitulatif des habitations pour savoir quelles places libres il reste, tu pourra ensuite faire une demande de logement. S'il n'y a plus de places, no worries, tu peux parfaitement demander la création d'un nouveau lieu ! - Demandes de RP : si tu ne sais pas avec où commencer, poste un petit quelque chose par là, et quelqu'un te répondra ! ( Jette un œil aux idées de scénarios ! Il s'agit de plein de petites idées de RP ou de dialogues pour s'inspirer, donc fonce !) - Fiches de liens : elles ne sont pas obligatoires mais bien pratique pour savoir où tous les personnages en sont, et aussi pour prévoir de futurs liens et RPs ! - Carnet de bord : l'avancée de tes RP, en gros. De même, c'est principalement pour toi, pour que tu t'y retrouves. Pour ces deux derniers, tu trouvera des modèles ici !- Le flood : la fête tous les jours à toute heure. Yey. Et en bonus : Pour la palette du forum, des titres en plus et des polices supplémentaires c'est ici ! Si tu veux des mises en page html pour tes RP, c'est par là. |
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| Sujet: Re: I'm gonna go out, I'm gonna let myself get absolutely soaking wet: it's raining men, Hallelujah! | |
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