Un petit appartement qui pourrait être agréable si il n'y régnait pas un désordre constant. Ouvrez la porte et une odeur de clope, d'alcool et diverses senteurs semblant issues d'un laboratoire vous agresseront aussitôt. Vêtements grisâtres, verres de whisky à moitié vides, disques louches et poussiéreux, tout cela est empilé à même le sol et il semble difficile de se retrouver dans ce cocon obscur et malsain aux rideaux presque toujours fermés… Mais il s'agit en réalité d'un bordel organisé. L'ordinateur, les armes et les dossiers sont très bien protégés, voire intouchables, ou cachés dans des tiroirs à double-fond et autres trappes. Juste assez bas pour pouvoir sauter en cas de pépin sans se casser plus de deux membres, il demeure suffisamment haut pour éviter qu'on le pille trop facilement. Et il semblerait qu'un mini-labo assez sommaire soit installé dans la salle de bains… pas que le proprio vous autorise à y entrer, bien entendu.

Studio de 20 m² situé au deuxième étage d’un bâtiment avec ascenseur. L’espace y est aménagé de telle sorte que le centre de la pièce principale soit dégagé et permette la circulation. Outre le bordel monstre entre les fringues sales, les cadavres de boites de pizza entassés dans un coin et un ordinateur en phase de montage pour son boulot, on y trouve un lit deux places, un bureau dont le PC posé cache un cimetière de mug tachés par le thé, une petite télévision et plusieurs consoles de jeux rétro. La peinture usée des murs est cachée par une tapisserie de posters d’anime de mecha, de films de science-fiction et de ses propres dessins. Bonus : il possède une baignoire dans sa salle de bain.

Un appartement qui ne paie pas de mine étant tagué où sont rassemblés des jeunes en réinsertion, encadrés par des bénévoles, âmes charitables, venant les voir de temps à autre, s'assurer que tout aille bien. L'intérieur est moins dégradé que l'extérieur. Lui, il a une petite chambre sobre sans décoration avec un lit et une armoire. Les toilettes, douches et cuisines sont en communs.

C'est pas très grand, y'a le nécessaire pour vivre et ça transpire pas le luxe mais alors qu'est ce que c'est en bordel. Si sur son lieu de travail le Doc est carrément maniaque, ce n'est pas le cas chez lui. De toute façon c'est un peu l'endroit où il vient s'échouer en dernier recourt, quand il est trop mal pour ne serait ce que bouger. Traînent par terre des bouquins divers ; la médecine ésotérique au vocabulaire archaïque se lie d'amitié avec les romans russes et les livres d'histoire. Les tasses de cafés vides traînent un peu dans tous les coins et gardent comme des bergers les piles de dossiers en cours. Un plaid et un oreiller se cachent dans la salle de bain. Ça a l'air gentillet vu comme ça, mais évitez de vous approcher de la cuisine. Le légiste y planque sa came. Ses scalpels trempent dans levier au milieu de la javel. Et parfois il ramène un peu de boulot à la maison, qu'il stock dans le frigo.

C'est un petit appartement tout ce qu'il y a de plus banal. On y retrouve deux pièces avec une décoration horriblement moche, des livres et des classeurs un peu partout.

Il n'y a pas beaucoup de pièces mais on y est plutôt à l'aise. Le balcon est assez grand pour y placer deux chaises et des plantes l'été. Tristan passe le plus clair de ses journées et ses nuits dans son salon, et à pris son essence par les peintures, l'encens, le choix des meubles ou l'absence de meuble réels. Il a peu d'affaire à part ses livres et son matériel d'art. Quelques lampes. Un ordinateur. Pas de télé. La tapisserie à été refaite sur la moitié de la pièce, faute de moyen. Il y a une petite chambre, où il met son linge, avec un matelas pour les jours où il ne dort pas sur son canapé. Monter un lit au troisième étage sans aide était impensable. Sa vieille table basse en marbre et métal forgé à été un enfer à déménager, mais elle donne à l'ensemble une certaine classe. La pièce du fond lui sert pour travailler, elle est presque vide hormis un fauteuil, un table à champ stérile et des caisses de matériel.

Un endroit de paix où règne cependant une atmosphère défraîchi, oubliée. Ce n'est pourtant aucunement sale à l'intérieur, plutôt bien entretenu même lorsque l'on sait le genre de personne qui l'arpente. Les murs sont délavés avec le temps, teinté de la marque de cette fumée de cigarette qui provient du salon. Alors lentement ce couloir avance pour ouvrir la voie. Une cuisine se dessine sur la gauche, ouvrant fébrilement par le biais d'un mini-bar sur le salon. Les murs s'effritent plus ici qu'ailleurs. Il y a le strict nécessaire pour y vivre et pour ne guère s'ennuyer. Alors la première porte sur le mur de droite interpelle. Une salle de bain, en soi rien de bien hors du commun. Et celle qui suit nous offre une chambre. C'est à peu près tout ce qui réside dans ce lieu dans une décoration sobre.

Appartement simple situé au 4ème étage comportant une pièce à vivre assez spacieuse. Le salon et la cuisine ne sont pas séparées. Un canapé en cuir noir est installé sur un tapis et se trouve en face de la télévision. En dessous de celle-ci traîne quelques consoles. Pour ce qui est de la cuisine, l’électroménager minimum à la survie de tout être vivant est présent. Il y a différents rangements qui sont réservés aux ustensiles de cuisines, couverts, etc... Point négatif de la cuisine. Le lavabo a tendance à accumuler la vaisselle sale un peu trop rapidement selon Yael. La chambre est accessible à partir du salon, celle-ci est composée d'un lit deux places, plus ou moins confortable, d'une armoire ainsi que d'un bureau. Surface sur lequel trône l'ordinateur de Yael qui reste quasiment allumé 24h/24. La salle de bain est accolée à la chambre, elle est occupée par quelques meubles, un lavabo, un miroir et une belle baignoire qui ne doit pas être possédée par beaucoup de ses voisins vu la taille de cette dernière. Mais bon. Être tueur à gages a ses avantages.

L'appartement n'est que très peu meublé. Il n'y a que l’essentiel pour y vivre, c'est-à-dire ; lit, table de commode, divan, table de cuisine, et j'en passe. La tapisserie est presque toute déchiré. Le bureau de Nemesis est le pire endroit à y mettre les pieds. Seul l'écran de son ordinateur éclaire la pièce ensevelit sous une tonne de livres en mauvais état et de papiers chiffonnés. Ce n'est que pour le travaille, répète-t-elle souvent alors qu'elle jette ses déchets à côtés de la poubelle. Elle essai du mieux qu'elle peut de s'occuper de son appartement, m'enfin, c'est ce qu'elle dit. De toute manière c'est déjà peine perdu. Ce n'est pas comme s'il était en si piteux état de toute manière. C'est même plutôt propre, à l'exception de son bureau.